LeBron James marque au buzzer et offre la victoire aux Lakers à Indianapolis !
Le 27 mars 2025 à 04:35 par Giovanni Marriette

Il était en train de faire l’un de ses matchs les plus discrets de la saison. Les Pacers étaient sur le point de l’emporter face aux Lakers. Mais le roi a usé de son sceptre, une nouvelle fois.
Les stats maison de ce nouveau statement royal c’est juste ici
Longtemps on a cru que LeBron James allait stopper son incroyable série de 1 282 matchs à 10 points ou plus, entamée il y a plus de 18 ans et cette phrase est absolument ahurissante.
Un match sans, comme ça peut arriver à n’importe qui mais normalement… pas lui, et des Lakers qui étaient pourtant dans les temps de passage contre les Pacers. Luka Doncic (34/7/7) et Austin Reaves (24 points) avaient finalement réussi à choper un peu de WiFi dans l’Indiana, les Lakers menaient de trois points à l’entame du dernier quart, moment choisi par LeBron pour en coller huit de suite, sauver sa série donc, et surtout initier un gros run pour son équipe.
La suite ? Les Pacers qui reviennent fort, Luka Doncic qui claque un tir de loin, Rui Hachimura qui en envoie deux mais Tyrese Haliburton qui valide son gros double-double (16 points et 18 passes) avec un dernier and-one. Les Pacers mènent 119-118 et se dirigent vers une nouvelle victoire importante en vue du Top 4 de l’Est alors que les Lakers vont perdre encore un peu de terrain dans la course à celui de l’Ouest.
Sauf que…
Sauf que LeBron James reste le roi et que ce statut lui confère des forces différentes de celles de ses semblables. Un atout qui va l’aider à s’élever à la dernière seconde du match, suite à un floater raté de Luka Doncic, pour claquer un game winner fatal aux joueurs de Rick Carlisle.
Le King prend même le temps de relever son vassal slovène en pleine célébration royale, et les Lakers tous ensemble de fêter leur héros, probablement très conscients de la chance qu’ils ont de pouvoir cotoyer de si près celui qui est en train d’accéder, petit à petit, au statut de légende du sport.
On en fait trop ? Peut-être mais, que voulez-vous, depuis 22 ans maintenant il va commencer à falloir trouver les mots. D’autant plus que, n’en déplaise à Stephen A. Smith, LeBron James n’en a clairement pas encore fini avec ses travaux.