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JO Paris 2024 : retour sur une cérémonie d’ouverture EX-CEP-TION-NELLE

Le 27 juil. 2024 à 00:26 par Giovanni Marriette

Aya Nakamura 27 juillet 2024
Source image : Eurosport

Ce soir la France était réunie devant le plus grand évènement sportif mondial qui soit. La France mais aussi l’Europe, le Monde, l’Univers, la Galaxie. Plus de 1,5 milliard de personnes ont vu cette cérémonie en direct à la télé ? Eh bien sachez que plus de 1,5 milliard de personne en ont pris littéralement plein la vue. Car c’était exatraordinaire.

Le défi était immense pour le directeur artistique Thomas Jolly et ses équipes. Un travail de plusieurs années, une ambition à la hauteur de l’évènement.

Réaliser la première cérémonie d’ouverture de Jeux olympiques hors d’un stade ? Dans une ville ? A Paris ? Sur… la Seine ??? Allez, défi validé, puissance MILLE.

Si vous vouliez un résumé de cette soirée, on ne pourrait pas le faire avec de simples mots. Alors des mots il y en aura quelques uns, mais quelques uns seulement. Cette cérémonie était placée sous le signe, entre autres, de l’inclusion, ambition majeure et mission accomplie, on vous file juste cette info : Aya Nakamura fut à deux doigts de faire twerker un colonel de la Garde Républicaine.

Quand on a dit ça on a tout dit mais… si seulement vous saviez. Pêle-mêle ? Philippe Katerine à poil, mi Avatar mi Bacchus. Lady Gaga qui danse le cancan pendant que Russell Westbrook signe à Denver. Juliette Armanet qui chante du Lennon à côté d’un piano en feu. Un déluge, qui rend tout ça un peu plus beau, un peu plus légendaire. Jamel Debbouze qui ouvre la soirée, puis Zinedine Zidane, puis toutes les délégations sur d’incroyables bateaux. Un défilé de mode, un tour au Louvre, des tableaux retraçant des courants ou des périodes identifiés, et cette playlist, déjà entrée au Panthéon de nos plus belles soirées. Puis la Tour Eiffel, oh bazar. Faudra pas être celui qui reçoit la facture – spoiler, les Français – mais qui dit Tour Eiffel + son et lumière… Spectacle incroyable, discours chiants mais obligatoires et le clou du spectacle : une belle pneumonie Zizou de retour pour emmener la flamme jusqu’à sa vasque de l’été. Zizou pour Rafael Nadal, qui s’offre un tour de vedette avec Serena Williams, Carl Lewis et Nadia Comaneci, avant que la quasi-totalité de la greatness sportive olympique française (Mauresmo, Guigou, Douillet, Le Pennec…) ne se retrouve aux environs du Louvre pour filer cette flamme aux derniers relayeurs, deux géants, Marie-José Pérec et Teddy Riner.

Bref, si on vous disait que la flamme olympique s’est ensuite envolée en montgolfière et que Céline Dion est revenu d’un arrêt maladie de quatre ans pour chanter du Piaf tout en haut de la Tour Eiffel, vous ne nous croiriez pas.

Mesdemoiselles, mesdames et messieurs, nous avons vécu ce soir l’un des plus grands moments d’entertainment de l’histoire, tout simplement. Le reste, on en parlera demain. Mais ce soir, merci de profiter du fait d’avoir vécu cette folie en direct.

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