Les Wolves tiennent leur homme fort !
Jacob à côté de ça, un lapin.
L'avenir de DLo avec les Wolves semble bien sombre depuis la nuit dernière...
On to the next one.
Un peu dans la tourmente le Glen.
C'est un chat, c'est un chacal c'est un lynx, que dis-je, c'est un tigre.
42-12,pour les matheux.
Rien n'est facile pour KAT dans cette série.
Ant-Man a sorti le grand jeu lors du Game 1 face aux Grizzlies, et ce n'est que le début.
Oui vous pouvez être contents de vous les mecs. Vous avez été de vrais patrons.
Ant-Man n'est pas du tout là pour rigoler !
Salut Pat', comment ça va ?
Ant-Man est monté haut, très haut cette nuit face aux Clippers.
Le poison le plus violent de NBA, c'est lui !
Ce match de KAT quand même, qu'est-ce qu'il était moche !
Offrez une statue à cet homme.
Chris Finch prolongé pour plusieurs années, on a envie de dire que c'est mérité.
Nicolas Batum tentera la semaine prochaine de danser avec les Loups.
Greg Monroe, en voyage toute la saison, débarque à Minnesota pour jouer les Playoffs. Malin le gars.
« MVPPPPPP ! » (pas du tout)
Possible que Karl-Anthony Towns ait tué le game dès le lundi soir avec ses 60 points et 17 rebonds face aux Spurs....
Chat échaudé ne craint pas la pluie.
Malik Beasley depuis le All-Star Break ? 39/72 depuis le parking. Pas dégueu comme pourcentages.
Les Wolves Top 6 en fin de saison on y croit ou pas ?
Tiens, si les Wolves jouaient les Playoffs, genre sans passer par le play-in ? Karl-Anthony Towns est-il une superstar ou un joueur...
Monsieur glace dans les veines.
Patrick Beverley, c'est le dirlo de la colo du Minnesota.
El crackito !
Trois étoiles !
Maintenant, il faut viser plus haut.
Crackito.
Encore plus dingue que quand le héros s'appelle Bob Morane.
Nick Young, J.R. Smith, Shawn Kemp ou Kareem Abdul-Jabbar tenez vous prêts, y'a des postes à pourvoir en ce moment en NBA.
Dirk Nowitzki, Joel Embiid, Karl-Anthony Towns, Kelly Olynyk, démerdez-vous.
Anthony Edwards va louper un premier match dans sa carrière, pas cool.
Il y a du Kevin Durant dans ce visage. Un peu.
*voix de Dalida* Paroles et paroles et paroles...
On sait pas ce qui est le plus fun : les actions d'Anthony Edwards ou la tête des coéquipiers sur le banc...
Et ce n'est pas une blague.
Thriller incroyable cette nuit à Philadelphie, et au final c'est un D'Angelo Russell stratosphérique en fin de match qui offre la win...
Sur le plan résultats, les Timberwolves sont un peu à la ramasse. Et pourtant, ce n’est pas faute d’avoir eu des élans d’espoir. Depuis 2004 et la saison du géant MVP Kevin Garnett, les petits louveteaux de Minneapolis ne sont allés qu’une seule fois en postseason. Vous n’y croyiez pas ? Bah nous non plus. Depuis le début des années 2010, Minnesota fait la course aux picks de draft et aux différents moyens de reconstruire un effectif durable et talentueux. Ce qui inclut donc un tanking de grande qualité et des défaites qui s’enchaînent, tout proprement. En 2014 et 2015, ils récupèrent Andrew Wiggins et Karl-Anthony Towns, ce qui constitue encore aujourd’hui le duo de base de Ryan Saunders. Lors de la saison 2017-18, les Wolves se disputent le huitième spot jusqu’à la dernière rencontre de régulière, gagnant leur ticket pour les Playoffs après une victoire au forceps contre des Nuggets bien remontés. Mais même avec les présences de Jimmy Butler et Jeff Teague, Minnesota butte directement contre la machine de Houston, qui les balaye 4-1 au premier tour, allez ciao les gars.
Après cette défaite, on peut dire que le roster a pas mal été bousculé, surtout après le 475ème caprice de Jimmy Butler, décidé à recharger de franchise. Perdant leur franchise player au bout d’à peine 10 matchs la saison dernière, les Timberwolves réussissent tout de même à récupérer Dario Saric et Robert Covington. Mais ni ce trade perdant/gagnant, ni la renaissance de Derrick Rose n’auront aidé Minnesota à s’en sortir et la franchise du nord a fini la saison sur un bilan de 36 victoires pour 46 défaites. Des questions commencent à se poser autour de KAT : sera-t-il un jour aussi fort que Hakeem Olajuwon ? On l’espère encore. Andrew Wiggins pour sa part commence tout doucement à se rapprocher d’un joli flop puisqu’il n’est décidément pas du tout au niveau auquel on l’attendait lors de son arrivée dans la Grande Ligue. Et ce qui est sûr, c’est que le niveau atteint par Minnesota ne semble pas avoir envie de s’améliorer. Avec une Free Agency désertique, les Wolves vont devoir s’appuyer sur un duo Towns – Wiggins, qui a intérêt de step-up s’ils ne veulent pas prendre la place de Phoenix au fond de la Conférence Ouest.