Deux nuits en mode transpiration intense : on le savait mais c’est officiel, rien ne vaut un bon Game 7 des familles

Le 03 sept. 2020 à 10:42 par Giovanni Marriette

transpiration 3 septembre 2020
Source image : Youtube

Ce début/milieu de semaine nous aura donc emmené dans de sacrées sphères émotionnelles. Deux Games 7 d’une intensité folle, chacun ponctué par le suspense d’un dernier tir, deux matchs qui nous ont une nouvelle fois rappelé que rien n’était plus beau qu’un match 7, qu’il soit vécu solo ou entre potes. Quel sport, quand même.

Le premier tour des Playoffs 2019-20 ne nous a pas offert l’once d’un morceau de suspense à l’Est ? Les demi-finales de Conférence sont étonnamment parties pour être plutôt déséquilibrées ? Bougez pas, passez à l’Ouest on vous fait de la place. Lakers et Clippers ont géré leur premier tour plutôt sans encombre, mais deux séries nous resteront particulièrement en mémoire, deux séries conclues à la toute dernière seconde du tout dernier match, quelques millièmes de secondes qui décident d’une saison entière, et parfois même des quelques années qui suivront… 

24h en hypnose totale, Mike Conley et Luguentz Dort en héros malheureux, Nikola Jokic et James Harden qui respirent, Jamal Murray et Donovan Mitchell dans la légende, des dernières minutes qui durent des heures et des matchs qui se terminent au lever du jour, tout ce qu’on aime en somme et tant mieux, parce que très clairement cette année 2020 n’a pas été la plus généreuse en terme de moments agréables, que l’on soit fan de basket ou non d’ailleurs.

Elle est là la NBA qu’on aime, celle qui nous fait suer, vibrer, hurler, pleurer. Celle dont ou voudrait parler toute la journée après l’avoir vécue la nuit, celle dont on se dit qu’elle est évidemment la meilleure ligue au monde. Chers Raptors, Celtics, Bucks, Heat, Clippers, Nuggets, Lakers et Rockets le message est lancé, on veut du Game 7 en demi-finale, on veut du Game 7 on veut du Game 7, parce que les Games 7 c’est vraiment trop chouette.


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