Programme NBA 2023-24 : qui a le calendrier le plus facile ?
Le 18 août 2023 à 01:42 par Giovanni Marriette
Après avoir découvert qui avait semble-t-il le calendrier le plus difficile cette saison (juste ici), passons aux petits veinards de la bande avec cette fois-ci les calendriers jugés les plus aisés pour cette saison 2023/24.
En NBA, les règles du calendrier sont les mêmes pour toutes les équipes. Sans compter les nouvelles exceptions du In-Season Tournament, chacune joue un total de 82 matchs au cours de la saison régulière. Ceux-ci sont fixés selon un fonctionnement bien précis : quatre rencontres contre les quatre adversaires de sa propre division (16 matchs), quatre rencontres contre six autres adversaires de sa conférence (24 matchs), trois rencontres face aux quatre adversaires restants de la même conférence (12 matchs), et deux matchs contre chaque adversaire de l’autre conférence (30 matchs). Le tout en disputant 41 rencontres à domicile et 41 à l’extérieur. Mais même si la formule ne bouge pas, la difficulté varie d’un calendrier à un autre. On vous explique.
La “Strength of Schedule” est calculée par Positive Residual, qui s’appuie sur plusieurs données pour déterminer la difficulté du calendrier de chaque équipe. Back-to-backs, niveau des adversaires, total de déplacements, enchaînement des matchs, altitude, … les éléments pris en compte sont nombreux et variés !
En faisant le calcul pour chaque franchise, voici donc le classement que l’on obtient des calendriers les plus faciles.
Les 10 équipes avec le calendrier NBA le + facile cette saison :
1) Denver Nuggets
2) Utah Jazz
3) Boston Celtics
4) Cleveland Cavaliers
5) Atlanta Hawks
6) Milwaukee Bucks
7) Miami Heat
8) Philadelphia 76ers
9) Phoenix Suns
10) Indiana Pacers
— TrashTalk (@TrashTalk_fr) August 17, 2023
Les Nuggets et le Jazz en tête, on imagine donc que si le FC Chamonix jouait en NBA ils seraient plutôt avantagés. On rappelle évidemment une nouvelle fois que cet indice de difficulté n’est évidemment pas parfait, puisqu’il est difficile de prévoir le niveau qu’aura chaque équipe la saison prochaine (spoiler : certaines seront plus fortes que ce que l’on prédit, d’autres moins). Et même si les détails font la perfection, ce ne sont probablement pas 200 kilomètres parcourus en avion qui changeront les résultats d’une équipe.