Après Jalen Brunson, Mikal Bridges prêt à prendre une ristourne avec les Knicks ?
Le 16 juil. 2024 à 10:33 par Julien Vion
Récupéré par les Knicks au début de l’été, Mikal Bridges pourrait imiter son coéquipier Jalen Brunson. Comme le meneur de jeu, l’ancien des Nets serait enclin à prolonger son contrat à un tarif moins élevé pour soulager les finances de la franchise.
Jusqu’où le pouvoir de l’amitié peut-il aller ?
C’est une question qu’il est légitime de poser face à l’actualité que l’on peut observer à New York. Après le retour du noyau de Villanova sous le même maillot, la ristourne acceptée par Jalen Brunson avait définitivement fait chavirer le cœur des fans des Knicks. Mais selon les informations rapportées par Marc Stein, Mikal Bridges pourrait bien lui aussi faire une fleur à la direction.
Le contrat de Mikal Bridges, qui s’étend jusqu’à la saison 2025-26, est déjà parmi les plus rentables de la ligue. Deux années à 23 puis 25 millions de dollars sans aucune option, NY a mis la main sur un défenseur élite capable de prendre feu offensivement sans mettre les finances dans le rouge. Mais avec une tonne de gros noms dans l’effectif, la franchise ne peut pas se permettre beaucoup plus.
Mikal Bridges is expected to take a pay cut to stay with the Knicks, per @TheSteinLine
“League sources say that the expectation now, furthermore, is that Bridges is likely to follow Brunson’s lead and sign a team-friendly deal of his own when it’s his turn to negotiate an… pic.twitter.com/9dOXbSiPMU
— NBACentral (@TheDunkCentral) July 15, 2024
Concernant la prolongation de son contrat, Mikal Bridges a deux solutions :
- Signer dès le mois d’octobre pour 72,5 millions sur 2 ans ou 113 millions sur 3 ans (autour de 36-37 millions la saison dans les deux cas) pour les saisons 2026-27 et 2027-28
- Attendre la fin de son contrat actuel pour être éligible à près de 300 millions sur cinq ans (entre 2026 et 2031), la maxi kichta
Selon Marc Stein, Bridges privilégierait la première option. En prenant le tarif maximum sur son contrat actuel plutôt qu’attendre un nouveau deal très avantageux, l’ailier offre la garantie de rester chez les Knicks jusqu’en 2028 à un tarif plus sympa. Avec l’augmentation du salary-cap, la franchise sera encore plus libre de ses mouvements en termes de flexibilité financière.
Le pouvoir de l’amitié continue à New York, qui semble sécuriser un noyau de potes déterminés à concurrencer les Celtics pour aller chercher une bague.
Source texte : Marc Stein