Free Agency 2024 : James Wiseman prend la direction des Indiana Pacers pour deux ans

Le 02 juil. 2024 à 19:21 par Robin Wolff

JAMES WISEMAN WARRIORS
Source image : NBA League Pass

James Wiseman réalise, pour le moment, une carrière décevante en NBA. Le numéro 2 de la Draft 2020 se voit toutefois offrir une nouvelle opportunité dans la Grande Ligue. Il répond à l’appel des Indiana Pacers et signe pour deux ans.

Être un intérieur aux Indiana Pacers est une des meilleures situations dans la NBA actuelle. Que ce soit Myles Turner, Pascal Siakam, Isaiah Jackson, Obi Toppin ou encore Jalen Smith, tous ont profité des caviars de Tyrese Haliburton et TJ McConnell cette saison.

James Wiseman a une chance de se relancer et ne devra pas la gâcher. L’ancien joueur des Golden State Warriors et des Detroit Pistons signe à Indianapolis pour les deux prochaines années. Adrian Wojnarowski n’a pas dévoilé le montant du contrat.

Free agent center James Wiseman has agreed on a two-year contract with the Indiana Pacers, sources tell ESPN. Wiseman was the No. 2 overall pick in the 2020 NBA Draft. pic.twitter.com/UBA9Yhlejx

— Adrian Wojnarowski (@wojespn) July 2, 2024

Cette nouvelle opportunité ressemble à celle de la dernière chance pour le numéro 2 de la Draft 2020. Depuis son arrivée en NBA, il n’a aucunement convaincu et n’a pas répondu aux espoirs placés en lui. James Wiseman dispose tout de même de grandes qualités athlétiques qui pourraient se mettre en valeur dans le système up-tempo des Pacers.

Le joueur de 23 ans débarque en remplacement de Jalen Smith, parti aux Chicago Bulls et profite de la pénurie au poste de pivot lors de cette Free Agency.

Ça commence à devenir compliqué, si des franchises veulent du pivot de qualité.

En 6 jours on a eu les signatures de :
– Isaiah Hartenstein
– Jonas Valanciunas
– Nic Claxton
– Goga Bitadze
– Andre Drummond
– Mo Bamba
– Kevin Love
– Richaun Holmes
– Jalen Smith
– Alex Len
– Drew…

— TrashTalk (@TrashTalk_fr) July 2, 2024

James Wiseman va t-il finalement se révéler ?

Source texte : Adrian Wojnarowski


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