LaMelo Ball commence à chauffer salement : du flow, du scoring, des records et… cinq victoires de suite, Ball don’t lie
Le 20 nov. 2021 à 09:05 par Giovanni Marriette
Parmi les joueurs actuellement dans la forme de leur vie ? LaMelo Ball, injouable ou pas loin depuis dix jours avec les Hornets. Facile d’être dans la forme de sa vie me direz-vous quand on n’a joué qu’une saison et quart dans sa carrière, mais cela n’enlève en rien le talent du garçon et sa domination actuelle.
Si les Hornets n’ont pas perdu un match depuis bientôt dix jours LaMelo Ball y est clairement pour quelques choses. S/o Terry Rozier dont le retour a clairement fait du bien même si Tete a mis quelques matchs à se mettre dedans, mais après avoir pu compter sur un Miles Bridges excellent sur la première quinzaine Charlotte a vu son meneur step up salement pour endosser le costume de leader d’attaque. Résultat des courses ? Les Hornets gagnent en fluidité car LaMelo est à la fois efficace, spectaculaire et pas trop dispendieux par rapport au jeu risqué et au nombre de ballons touchés, et les Hornets se sont même remis à gagner, c’est quand même l’essentiel hein. Grizzlies, Knicks, Warriors, Wizards et Pacers ont ainsi été passés à la moulinette pour réagir à une autre série de cinq mais de défaites cette fois-ci, et les stats et la montée en puissance du petit génie au style particulier ont de quoi faire sourire le GOAT (venez me chercher, adresse en MP) dans les bureaux de la salle :
Last 6️⃣ games for @MELOD1P 👀#AllFly | @hornets pic.twitter.com/yiGPm24W5D
— Bally Sports: Hornets (@HornetsOnBally) November 20, 2021
Forme olympique donc pour le Rookie Of the Year 2021, pas une forme de All-Star mais encore un gros mois comme celui-là et on pourrait presque en reparler, et cette nuit la lamelle a une nouvelle fois brillé de mille feux face à des titulaires des Pacers qui ont rarement… aussi peu brillé. Difficile de gagner un match de basket quand ton meilleur joueur se nomme Torrey Craig, avec l’immense respect qu’on a pour TG hein, et LaMelo s’est donc joué comme tous ses petits copains d’une défense poreuse comme le sol de l’Indiana en automne pour nous offrir un nouveau – petit – chef d’oeuvre qui en appelle un paquet d’autres et c’est peut-être ça le plus beau dans notre affaire.
La suite pour LaMelo et les Frelounets ? Trois déplacement estampillés East Coast avec des matchs à Atlanta, Orlando et Washington, avant de tenter de toper les Wolves, ahou, et les Rockets, haha. Allez, un trophée de joueur de la semaine lundi soir pour LaMelo, trois victoires sur cinq pour les Hornets et on rentre dans le Top 4 à l’Est ?