Michael Jackson fête aujourd’hui ses 56 ans : et pas la peine de chercher l’erreur, il n’y en a pas
Le 13 juil. 2020 à 14:07 par Nicolas Vrignaud
Michael Jackson ? Le roi de la pop ? Et non Jamy ! Aujourd’hui, on se penche sur l’homonyme du regretté maître de la musique des années 80, un joueur peu connu (à la hauteur de ses stats en carrière) mais qu’on avait envie de célébrer chez TrashTalk en cette belle journée. Sans rancune MJ, on a glissé quelques dédicaces pour te faire plaisir.
Un palmarès bien garni pour le Micky s’il vous plaît, c’est ce qu’on aurait dit s’il avait été autre chose qu’un chauffeur de banc, comme on dit dans le jargon. Mais pas de panique, tout n’est pas Black Or White, on salue quand même une année universitaire primée par un titre NCAA aux côté de Patrick Ewing, en mode Beat It face aux Houston Cougars. Ensuite, comme le dit l’adage, Don’t Stop Till’ You Get Enough : direction la National Basketball Association pour le néo-champion du bahut. Malheureusement, pas de chance pour le pote de Patoche, qui ne sera appelé qu’en 47ème ce soir de juin 1984, envoyé à Sacramento après un Thriller qui l’enverra d’abord à New-York avec son ex-compagnon d’armes avant de finalement bifurquer vers la Californie.
We’re Almost There, 6 novembre 1987, match NBA face aux voisins de Golden State. Contre l’équipe rivale de Sac-Town, MJ foulera pour la première fois l’un des parquets de la Grande Ligue, un privilège réservé à une poignée d’élus. Too Young malheureusement, Michael se contentera d’accompagner cette sérénade que fut ce premier match professionnel pour lui, se cantonnant à deux petits paniers en 19 minutes de jeu. Une première qui restera certainement dans sa mémoire comme l’un de ses plus beaux souvenirs. We’Ve Got A Good Thing Going : petit à petit, l’homme rentre dans la rotation, se contentant de miettes certes, mais faisant réellement partie de l’effectif. Mais toute histoire à une fin. Fin de la saison 1989-1990, Bad news pour l’homme originaire de Fairfax en Virginie. Les Kings le coupent, et s’arrête ici l’épopée NBA pour l’un de ces innombrables joueurs de l’ombre dont on oublie le nom mais qui sont essentiels pour que la ligue continue son éternel spectacle.
Dear Michael, tu fais partie de ceux que le public ne connaît pas. En revanche, ton passage dans la plus grande ligue du plus beau sport d’entre tous, lui, est bien marqué à l’encre indélébile dans les livres d’histoire. Alors happy birthday, Michael.