Les notes de Pelicans – Warriors, Game 3 : alors comme ça… Ian Clark est meilleur que Stephen Curry ?

Le 05 mai 2018 à 06:13 par Giovanni Marriette

TrashTalk Fantasy League - podcast
source image : youtube

Envoyez les notes du Game 3 entre les Pelicans et les Warriors et sans vous spoiler… ça sent le redoublement pour quelques zozos. Et pour ceux qui préfèrent un résumé dans les règles du lard, rdv ici.

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NEW ORLEANS

Rajon Rondo (21) : impérial  – et quasi historique – à la passe, dégueulasse au tir mais on s’en fout. 21 offrandes alors que ce n’est même pas Noël, et il a même régalé la salle en allant emmerder Draymond Green à chaque arrêt de jeu. Du très grand Rajeux, tut tut les rajon.

Anthony Davis (8) : another day in AD life. 33/18/3/4, je pose 6 et je retiens 7. Si vous avez la réponse à cette équation, vous trouverez l’année où l’Unibrow deviendra MVP.

Ian Clark (7) : il a été le meilleur Warrior sur le terrain alors qu’il ne joue même plus à Golden State. Visiblement énervé d’être passé derrière Curry dans la rotation, y’a un moment où il faut rétablir certaines vérités.

Jrue Holiday (7) : tout en justesse sous les yeux de Madame Vacance, Jrue a géré le tempo en attaque tout en éteignant les Beach Boys d’en face. Les Playoffs du mec sont tout simplement hallucinants.

Nikola Mirotic (7) : la nouvelle égérie de Gillette s’est arraché au rebond et a rentré quelques gros tirs. Se prend parfois pour Dirk Nowitzki, faudrait pas non plus pousser Mémé dans la choucroute.

E’Twaun Moore (6) : Antoine a mis ses pions, Antoine a défendu. Pas le joueur le plus en lumière dans le jeu des Pels, probablement parce que cela prend trop de temps à Alvin gentry d’écrire son prénom sur la plaquette.

Solomon Hill (6) : Solomon, y’a rien à faire j’suis Solomon. Trois tirs du parking pour l’idole de Corneille, c’est tout ce qu’on lui demandait ce soir. Aussi lent qu’efficace, exactement le contraire d’Ish Smith.

Darius Miller (5) : y’a rien à faire, trop de gens pensent encore que Darius Miller est un nom donné au hasard à un mec trouvé là au hasard. Il n’empêche que Bobby Random a joué treize minutes et qu’il a encore assuré à l’aile.

Cheick Diallo et DeAndre Liggins (-) : ont pris part à la fête pour manger les croûtes de quiche restées sur le buffet. Chacun sa victoire.

Alvin Gentry (5) : cinq comme le nombre de victoires d’Alvin Gentry dans ces Playoffs. On aime bien se foutre de sa gueule mais ça commence à causer.

WARRIORS

Klay Thompson (5) : une grosse première mi-temps, puis plus grand chose derrière. 9/22 au tir, deux jours après son 4/20. Faut arrêter la javel avant les matchs monsieur.

Stephen Curry (4) : de retour dans le cinq, Baby Face s’est donc fait outscorer par son ancien back-up. Quelques fulgurances du parking mais rien de plus, on croirait parler de Denzel Valentine.

Draymond Green (4) : toujours dans l’intensité level un million mais complètement dominé par Anthony Davis. En même temps, même Sangoku se ferait dominer par cet AD là. Oui, même le jour où Krilin est mort sur Namek.

Kevon Looney (4) : il a presque le même prénom qu’un joueur connu et il a un nom de cartoon. Et quand c’est tout ce qu’il y a dire sur un mec, c’est que son match ne fut pas légendaire.

Kevin Durant (3) : il aurait demandé à joindre le GM des Pels après le match, on n’en sait pas plus pour le moment. Laissez la police faire son travail, croyez bien que dès que nous aurons de plus amples informations vous en serez les premiers informés.

JaVale McGee (3) : de retour dans le cinq, épicetou.

Andre Iguodala (3) : a toujours de gros bibis, épicétou.

Shaun Livingston (3) : invisible, comme une bague dans le palmarès de Carmelo Anthony.

Nick Young, Jordan Bell, Zaza Pachulia, Quinn Cook et David West (-) : ont pris part à la fête pour balayer les croûtes de quiche crachées par les Pels. Chacun son fardeau.

Steve Kerr (0) : s’est rendu compte qu’il n’avait pas envoyé le bon joueur aux Pels cet été. Le moral semble touché.

Rendez-vous dimanche soir pour le réveil des champions en titre, à moins que ces Pels ne confirment leur nuit magique et ne mettent par la même occasion un énorme coup de pression aux Dubs. Nous on sera là, en direct du bateau-cinoche, et on promet que plus la série avancera, plus on sera sévère. Parce que ça va deux minutes d’être trop gentils en Playoffs, on n’est pas les Blazers nous.