Chris Douglas-Roberts file en Louisiane. Sa mission ? Relancer la mode des shorts moulants !

Le 15 sept. 2015 à 12:23 par Leo

Suite à une saison maussade sous le soleil californien, Chris Douglas-Roberts, natif de Détroit de 28 berges, voit son temps de jeu s’essouffler année après année. Ne faisant que très peu l’unanimité, l’ancien presseur de citrons sur le banc des Nets, des Mavs et des Bobcats Hornets a trouvé preneur avec un nouveau concurrent à une place en PO…

On n’a pas l’occasion de le voir souvent mais étrangement, tout le monde connaît son blase. Swingman au jeu et au physique atypiques, Douglas-Roberts, passé par la fac de Memphis dans ses jeunes années, n’est pas encore parvenu à se constituer un joli nid douillet dans une franchise fixe de la Grande Ligue. Passé par 5 équipes en l’espace de 6 années de carrière durant lesquelles il a avoisiné les 7,1 points, 2,1 rebonds en 19,7 minutes de moyenne par rencontre, il a enfin trouvé une nouvelle terre d’accueil pour deux saisons de rab, chez les Pelicans de la Nouvelle-Orléans plus précisément. Pour le minimum vétéran, le très attaché aux shorts courts des 80’s et aux goggles façon Laure Manaudou Horace Grant – bien obligé depuis une déchirure de la rétine il y a 5 piges – guidera le squad des nouveaux arrivants à NOLA en provenance de la Draft, dont Bryce Dejean-Jones d’Iowa State et l’ex D-Leaguer, Sean Kilpatrick. Choisi à la 40ème place en 2008, il se prépare toujours à se donner au maximum et d’apporter… ce qu’il pourra à ceux qui croiront en ses talents, une fois son nom appelé à la table de marque. Les Pelicans avaient besoin de consolider leur roster et c’est à présent chose faite pour au moins une centaine de matchs. Utilisé à petite dose, il apportera un semblant de dynamisme et d’exotisme à la nouvelle attaque dirigée par Alvin Gentry. Au passage, il en profitera aussi pour faire admirer son look funky et décontracté aux fans des quatre coins des States.

A l’approche de la trentaine, Chris Douglas-Roberts aura donc une occasion de plus afin de s’affirmer comme un remplaçant indispensable dans un groupe nouveau et ambitieux. En même temps, c’est maintenant ou jamais bonhomme, hein…!

Source texte : Yahoo! Sports

Source image : csnne.com