LaMarcus Aldridge aurait des envies d’ailleurs, Chicago comme nouvel horizon ?

Le 27 juin 2013 à 08:06 par Leo

Voyant l’ouverture des portes du marché des transferts estival arriver à grands pas, LaMarcus Aldridge aurait avoué son envie de quitter le club pour lequel il a accordé sept ans de son existence, à jouer dans une salle comble à chaque rencontre. En effet, le géant originaire du Texas, tournant cette saison à 21,1 unités, 9,1 rebonds et 2,6 passes décisives par rencontre, convoiterait un transfert imminent qui l’extirperait de l’Oregon et des Blazers de Portland, un endroit qu’il juge “trop ennuyeux, trop étroit où l’on ne peut pas faire ce que l’on veut”. Subissant les frais d’une malédiction qui ronge l’équipe entière, l’intérieur a connu une nouvelle fois une saison en demi-teinte en ne se qualifiant pas pour les Playoffs.

De plus, ce-dernier, auquel il reste deux ans de contrat, aurait anticipé un potentiel départ en ne renouvelant pas plusieurs partenariats publicitaires, notamment avec Chevy et Cadillac. Néanmoins, un transfert est encore loin d’être mis en place car le directeur exécutif de Portland, Neil Oshley, voudrait, si tel est vraiment le désir intense d’Aldridge, récupérer un maximum de capitaux dans le but de reconstruire avec de nouveaux arguments la franchise, dès lors que son All-Star serait sur le point de prendre le large définitivement.

Les Chicago Bulls seraient alors une destination enviée par LaMarcus, mais “Windy City” va devoir proposer une contrepartie à la hauteur de l’événement si la ville de Derrick Rose souhaite capturer le géant de l’Ouest. Le bruit cout que le nom de notre frenchie, Joakim Noah, aurait été évoqué pour permettre une symétrie mais que l’éxécutif des Bulls aurait immédiatement refusé. En plan B, la piste Luol Deng, accompagné du premier choix des Charlotte Bobcats, aurait été mise en avant, bien qu’insuffisante et difficilement réalisable avec la récente proposition de prolongation de contrat pour le Soudanais. Ça commence déjà à chauffer alors que les general managers ne dorment plus et que la Draft ne saurait démarrer d’une heure à l’autre…

Sources: The Oregonian / Hoopsworld