LeBron James : “Bronny ne peut pas m’appeler ‘papa’ au travail”
Le 28 août 2024 à 10:37 par Julien Vion
Pour la première fois dans l’histoire de la NBA, un père et son fils se retrouvent coéquipiers. LeBron James l’annonce avec humour, il ne manque pas d’idées pour éviter que Bronny James ne l’appelle “Papa” sur son lieu de travail.
“On ne peut pas être en train de remonter le terrain et qu’il me dise : “Papa, je suis ouvert ! Papa, vas-y !”” – LeBron James, via TheShopUN
La phrase a de quoi faire sourire, mais la situation à un potentiel comique encore plus dingue. Un père et son fils qui remontent le terrain en contre-attaque, c’est bien la réalité de la NBA version 2024-25. Sous le maillot des Los Angeles Lakers, LeBron James et Bronny sont une paire de coéquipiers pas comme les autres.
Du point de vue du King, bonheur absolu. En plus de réaliser son souhait formulé depuis des années de jouer avec son fils, il peut continuer de l’appeler “Bronny”, comme lorsqu’il fallait lui demander de mettre la table il y a 10 ans de ça. Pour le fiston, le terrain est glissant. Toute sa vie, il a probablement appelé le daron “papa”, voire “pap’s”. Mais comment imaginer garder sa street-cred devant ses coéquipiers s’il glisse un “papou” pendant un shootaround ? LeBron a déjà tranché, changement de vocabulaire dans le monde professionnel :
“Il ne peut pas m’appeler “papa” au travail. Une fois qu’on quitte le centre d’entraînement, que les portes se ferment, je peux redevenir “papa”. Pareil si on rentre ensemble en voiture ou à la maison, là je peux être “papa”.”
Bronny can’t call Bron “Dad” at the workplace 😅
(via @TheShopUN)
— Yahoo Sports (@YahooSports) August 27, 2024
Dès le camp d’entraînement des Lakers, Bronny James devra se battre contre ses vieilles habitudes. Mais avec une répartie déjà légendaire, LeBron ne manque pas d’exemples pour aiguiller son fils à trouver les bons termes :
“Il peut m’appeler “2-3”, “Bron” ou “GOAT” s’il veut, c’est lui qui décide”.
LeDad est drôle, certes, mais imaginer Bronny James l’appeler “GOAT” pousserait le comique dans des sphères encore jamais atteintes.
Le fiston n’a plus que quelques semaines pour réfléchir au meilleur terme avant d’en Chosen one. Surtout, pas de pression.
Source texte : TheShopUN