Javonte Green s’engage avec les New Orleans Pelicans pour une saison
Le 21 août 2024 à 09:53 par Julien Vion
Après une pige de 9 matchs avec les Chicago Bulls à la fin de la saison dernière, Javonte Green a retrouvé un contrat NBA. Selon Shams Charania, la pile électrique d’1m93 s’est entendue avec les New Orleans Pelicans pour un deal d’un an.
Explosivité et énergie sont toujours un bon cocktail sur un parquet NBA. Javonte Green, ailier au goût prononcé pour le gros dunk et les efforts, a le chic pour réveiller une second-unit qui s’endort un peu trop. Libre de tout contrat pendant les premiers mois de la saison 2023-24, il avait retrouvé un accord avec Chicago à la fin du mois de mars, sur les bases d’un premier contrat de 10 jours.
Résultat ? 12,2 points, 7,4 rebonds, 1,1 interception et 0,9 contre, le tout à 60% au tir et 37% à 3-points pour finir la saison ! Certes, le volume est faible, mais c’est un aperçu de ce que Javonte Green peut apporter au meilleur de sa forme. Dans une victoire face aux Knicks en fin de saison dernière, il avait même envoyé 25 points, 13 rebonds et 2 interceptions (10/14 au tir).
Avec 195 matchs NBA au compteur depuis 2019, l’écrasante majorité chez les Bulls, Green s’engage à New Orleans pour la saison 2024-25. Les Pelicans récupèrent un élément plus qu’intéressant pour jouer les facteurs X en sortie de banc derrière Brandon Ingram, Herb Jones ou Trey Murphy dans les ailes. Peu importe le nombre de minutes, Woo se fera un plaisir de se présenter en devenant un chouchou des fans du Bayou.
Free agent wing Javonte Green is finalizing a one-year deal with the New Orleans Pelicans, per league sources. Strong addition for Pelicans’ depth as Green averaged 12.2 points in 25.6 minutes per night across nine games to close last season with the Bulls. pic.twitter.com/hDwjKw0YV2
— Shams Charania (@ShamsCharania) August 20, 2024
Le premier match de la saison 2024-25 opposera justement les New Orleans Pelicans aux … Chicago Bulls, dans ce qu’on peut désormais nommer le Javonte Grenn-ico.
Source texte : Shams Charania