Chris Finch prolongé jusqu’en 2028 par les Minnesota Timberwolves !
Le 25 juin 2024 à 08:43 par Julien Vion
Fort de sa superbe saison sur le banc des Minnesota Timberwolves, Chris Finch s’est entendu avec la direction de la franchise pour une prolongation de contrat de 4 années supplémentaires.
Chris Finch avait terminé la saison sur une jambe – au sens propre du terme – mais a eu les genoux solides tout au long de l’année. En plus de décrocher le meilleur bilan de saison régulière de la franchise (56-26) depuis 2003-2004 (58-24), les Minnesota Timberwolves ont atteint les Finales de conférence pour la première fois depuis deux décennies.
Le coach, arrivé à Minneapolis au cours de la saison 2020-21 après le licenciement de Ryan Saunders, a mis en place une culture défensive d’élite qui a notamment permis de sweeper les Suns et de vaincre les Nuggets en 7 matchs au cours des Playoffs 2024. Depuis l’arrivée de Finch sur leur banc, les Loups sont dans le top 10 de la NBA en bilan comptable, net rating, rating défensif et victoires.
Résultat pour autant de travaux ? Une prolongation de contrat jusqu’en 2027-28 selon les informations rapportées par Adrian Wojnarowski, histoire de sécuriser le coach pour le prime d’Anthony Edwards. La news sonne plutôt sympa.
Mérité, et il a même pas pu finir son incroyable saison sur deux jambes.
L’avenir semble entre les mains de Chris Finch chez les Wolves, il a d’ailleurs répondu à ✨ pas mal de questions et de doutes ✨ pendant ces Playoffs. https://t.co/qNGDxaVteQ
— TrashTalk (@TrashTalk_fr) June 24, 2024
Avec 287 matchs de saison régulière et 27 de Playoffs, Chris Finch a toujours connu un bilan positif dans ses saisons complètes passées sur le banc de Minnesota. Mieux, alors que les Wolves n’avaient connu qu’une campagne de Playoffs entre 2004 et 2021, ils ont enchaîné leur troisième apparition en postseason sous Finch en autant de campagnes disputées.
Si la prolongation du headcoach est probablement passée comme une lettre à la poste pour la direction, le temps de se pencher sur le bazar contractuel de l’effectif sera sans doute moins rigolo. Entre Karl Anthony-Towns (49,2 millions), Rudy Gobert (43,8 millions) et Anthony Edwards (42,3 millions) qui quitte son contrat rookie, le service comptabilité va devoir être inventif pour modeler avec le reste.
Source texte : Adrian Wojnarowski