Officiel, le Jazz est en vacances : que dire, à part qu’on leur souhaite des vacances ailleurs qu’à Salt Lake City ?
Le 15 avr. 2024 à 01:37 par Giovanni Marriette
La saison passée avait été assez incroyable dans l’Utah, terminée à quelques encablure seulement du play-in et avec un trophée de MIP pour Lauri Markkanen. On est redescendu d’un étage cette saison, mais ça ne veut pas dire que tout a été mauvais.
Les treize défaites de suite entre le 17 mars et le 10 avril ont terminé d’enterrer les derniers espoirs du Jazz, si l’on peut encore parler d’espoir. La saison du Jazz ne restera pas dans les annales (BILAN), pour une raison bien identifiée : on n’a rien compris. On n’a pas compris le choix John Collins, on a été un peu déçu de la non-explosion de Walker Kessler, on n’a pas compris non plus la trade deadline, et on n’a pas compris ce bilan de 31-51, ni fait ni à faire. On a bien kiffé Keyonte George mais on n’a pas beaucoup vu Taylor Hendricks, on a très peu vu Ochai Agbaji non plus, en tout cas on l’a rarement vu marquer. Si vous nous demandez de vous parler de la saison du Jazz là maintenant tout de suite ? On vous dit qu’on va aux toilettes et on ne revient pas. On reviendra pour la Lottery et pour la Free Agency, mais là tout de suite on est surtout là pour souhaiter de bonnes vacances à Will Hardy et ses guys, de préférence loin de l’Utah, histoire de ne pas virer blanc comme un linge pour la rentrée. A dans six mois, c’est pas que vous n’allez pas nous manquer, c’est juste qu’on s’en fout un peu.