Stephen Curry a vécu la mi-temps la plus maladroite de sa carrière face aux Celtics (0/9 à 3-points !)

Le 04 mars 2024 à 10:59 par Robin Wolff

Stephen Curry 4 mars 2024
Source image : X / TrashTalk

Hier soir, les Golden State Warriors se sont pris une torgnole exceptionnelle de la part des Boston Celtics. Les joueurs de Steve Kerr ont livré une performance pathétique et Stephen Curry a peut-être été le pire de tous. Avec un 0/9 de loin lors des 24 premières minutes, le Chef a vécu la mi-temps la plus maladroite de sa carrière.

140 à 88. 52 points d’écart. 44 à la mi-temps. Une rouste, une fessée, une humiliation, une annihilation. De la torture, de la séquestration, un emprisonnement. Difficile de poser les mots sur ce que les Boston Celtics ont infligé aux Golden State Warriors ce dimanche. Pour ne rien arranger, les verts l’ont fait à 21h30, heure française pour que tout le vieux continent puisse se moquer de leurs adversaires.

Symbole de cette horreur visuelle proposée par les joueurs de la Baie, Stephen Curry. Le meneur génial a perdu, hier soir, ce sourire juvénile qui lui colle d’habitude aux lèvres. Dans une première mi-temps horrible, le Splash Bro s’est transformé en chasse d’eau. C’est en tout cas la seule chose qu’il ait réussi à bien tirer au TD Garden.

4 points et 3 passes à 2/13 au shoot sont déjà des statistiques faméliques, mais surtout, Stephen Curry a réalisé un honteux 0/9 de loin. La pire mi-temps de sa carrière derrière la ligne.

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— TrashTalk (@TrashTalk_fr) March 3, 2024

Les grands shooteurs ne perdent jamais confiance et n’arrêtent pas de tirer lorsqu’ils traversent une petite crise d’adresse … mais parfois ils devraient.

9 saucisses en 24 minutes, c’est réservé aux participants de concours de mangeurs de hot-dogs d’habitude. Le ratio est catastrophique et n’est définitivement pas étranger au -44 encaissé par lui et ses coéquipiers en première mi-temps.

Steve Kerr a décidé d’abréger sa souffrance et de laisser son meneur au repos lors de la deuxième période, ce qui a permis à Jerome Robinson et à Lester Quinones de prendre le relai. Un 4/16 en cumulé de loin qui a rendu hommage à la performance de leur franchise player.

À Brooklyn, le nine-nine fait la fierté du quartier. À Golden State, le 0/9 est symbole d’humiliation. Reste à voir si lors de la prochaine rencontre, Stephen Curry pourra rebondir et apparaître sur le parquet … comme neuf.


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