Robert Williams pourrait revenir d’ici 10 à 12 jours : comme si Boston n’était pas assez flippant comme ça

Le 08 déc. 2022 à 12:48 par Alexandre Taupin

Robert Williams
Source image : NBA League Pass

Blessé depuis le début de saison, Robert Williams se rapproche de plus en plus d’un retour à la compétition. Selon les dernières updates médicales, le pivot des Celtics pourrait même être en tenue avant le Christmas Day. 

Plus apparu sur un parquet depuis les dernières Finales NBA, Robert Williams va-t-il enfin remettre son short vert ? Du côté de Boston, l’optimisme semble régner à l’idée de voir le big man rejouer avant le passage à l’année 2023. Intervenant ce mercredi à l’émission NBA Today, Adrian Wojnarowski d’ESPN a révélé ses derniers bruits de couloir. Selon l’insider, la fin de la convalescence est proche pour Timelord, qui pourrait rejouer d’ici 10 à 12 jours. Le Woj n’écarte pas non plus la possibilité d’un retour plus rapide si le joueur estime qu’il est prêt à aller au combat avec ses coéquipiers.

Adrian Wojnarowski says on NBA Today that Celtics big man Robert Williams is “getting closer” to returning to action. His timeline: 10-12 days pic.twitter.com/S7JmtCzJEq

— hoops bot (@hoops_bot) December 7, 2022

Le cadeau de Noël se précise donc pour Boston, qui devrait profiter grandement du retour de son intérieur. Grâce à ses écrans, son jeu sur pick and roll et son énorme abattage défensif, Williams s’est imposé comme un élément incontournable du cinq de départ du dernier finaliste NBA. Alors qu’ils avaient la meilleure défense de la Ligue l’an passé, les leprechauns ne présentent pas les mêmes garanties cette saison, malgré une solide neuvième place au defensive rating. Il ne fait aucun doute qu’avec le retour de Williams dans le cinq, ce classement devrait évoluer à la hausse. Le joueur tournait en 2021-22 à 10 points, 9,6 rebonds et 2,2 contres à 74% au tir.

Robert Williams se rapproche du retour à Boston et les verts n’auront peut-être pas à attendre le sapin pour profiter de ce cadeau. Comme si l’équipe de Joe Mazzulla n’était pas assez flippante comme ça. 

Source texte : Adrian Wojnarowski / ESPN