Les highlights les plus fous de la carrière de Gerald Green : neuf minutes de bonheur signées le nouvel assistant des Rockets

Le 25 oct. 2021 à 17:21 par Jérémy Marty

Gerald Green a dit stop, il ne jouera pas une autre saison professionnelle. Après avoir porté bien haut les couleurs de huit franchises NBA, le natif de Houston raccroche les ressorts. L’occasion de regarder des highlights complètement fous dont il était coutumier. On s’assoit et on profite de la séance.

1m98 pour 93 kilos et une énorme dose de dynamite dans les jambes. Voilà le profil du garçon drafté à la 18e place de la classe par Boston en 2005. Celui qui n’est alors qu’un rookie originaire de Houston va vite se révéler comme un zinzin du dunk capable de bondir sur n’importe qui à n’importe quel moment. Plutôt pas mal pour un joueur qui a joué toute sa vie avec un doigt partiellement amputé à cause…d’une histoire de dunk dans son enfance. Un handicap ? Pas au vu des dingueries du Marsupial allant d’un alley-oop windmill avec les Nets à un concours de dunks remporté au All-Star Game 2007. Mise à part violenter des cercles, Green s’est aussi révélé être un shooteur intéressant depuis le parking avec 36% en carrière. Ses qualités en ont fait un role player correct notamment lors de son passage à Phoenix de 2013 à 2015. Mais aussi lorsqu’il a lutté pour le titre avec les Rockets de 2017 à 2019. Une quinzaine d’années après la Draft 2005, le show Gerald Green clôture ses portes après 658 représentations en NBA pour une moyenne de 9,7 points. Aujourd’hui âgé de 35 ans, le fantasque arrière a ramené ses valises à la maison pour son après-carrière. Le natif de Houston va intégrer le staff Rockets pour encadrer les jeunes pousses de l’effectif. Attention, l’envie de postériser John Wall pourrait bien lui prendre au fil des séances d’entraînement…

Des shoots, des dunks totalement fous et des qualités athlétiques à revendre. C’était beau, c’était grand et aérien, c’était Gerald Green. Un solide baroudeur qui a posé d’énormes dingueries un peu partout dans les salles NBA et celles du monde entier. Merci Gerald.


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