Le best-of des Knicks 2018-19 : même New York atteint les 12 minutes de highlights, comme quoi tout est possible

Le 06 août 2019 à 10:43 par Julien Dubois

En attendant la reprise des hostilités, TrashTalk paye une nouvelle fois son mois d’août et vous offre chaque jour le best-of 2018-19 de l’une des trente franchises NBA. Histoire de se mettre bien avant la reprise, histoire de ne pas oublier que le basket est le plus beau sport du monde, juste devant la pétanque du dimanche, celle qui se pratique une boule dans la main gauche et un verre de rosé dans la droite. Allez, highlights, les vacances c’est pour les autres.

C’est parti, cinquième best-of de cette série spéciale N-1, synonyme d’un début de saison qui se rapproche inexorablement. Ça c’était pour la bonne nouvelle, mais passons tout de suite aux choses sérieuses.

Ce ne fut pas une saison facile pour les Knicks qui ne remportèrent que 17 matchs. L’objectif était clairement de gagner la lottery, ce qui ne fut pas le cas mais bon, R.J. Barrett est un très bon joueur alors disons que l’essentiel est sauf. C’est donc dans une saison marquée par des défaites que vont s’illustrer les joueurs de New York et franchement, il s’en sortent carrément bien. L’équipe est assez homogène du point de vue des highlights : qui dit équipe de jeunots dit mollets de compet’. Trier, Mudiay, Hezonja, Robinson, Ntilikina, Knox et Smith Jr. en fin de saison, voilà le millésime 2019 dans la Grosse Pomme.

Alors oui, Franky le frenchie est ici et vous allez nous demander pourquoi. Eh bien on est chauvin et on a pas oublié le drive sur le Jazz avec finish en poster sur Rudy, french connexion. Dennis Smith, lui, s’est fait un nom très rapidement sous le maillot bleu et orange. Avec de très gros tomars en contre-attaque il a montré que « mollet » et « ressort » pouvaient ne faire qu’un. Pour finir, zoom sur Mitchell Robinson. Pour sa première saison, il a montré qu’il était un client sérieux 1) pour les alley-oops 2) pour coller des énormes contres. En effet, il y a du defensive highlights et il faut garder un œil sur le petiot qui a de l’avenir dans le domaine des bâches. Ah oui, on n’oublie pas d’en placer une pour LeBron, contré par super Mario Hezonja.

Voilà pour les Knicks sur qui on ne tire pas aujourd’hui. Apprécions plutôt le beau jeu et rendons à César ce qui appartient à César : sympa les dunks à New York, surtout que le public gère aussi. Allez, on se retrouve demain pour un article négatif sur les Knicks et une autre review de best-of.