Ray Allen au Hall of Fame : ses 10 plus belles actions en carrière, du parking mais pas seulement

Le 07 sept. 2018 à 20:59 par Theo Faria

Qui dit journée spéciale en NBA, dit journée spéciale chez TrashTalk. A l’occasion du Hall of Fame 2018, nous revenons sur les plus beaux moments des carrières des joueurs honorés. Et il est l’heure de s’attaquer au Top 10 de Ray Allen en 18 ans de carrière sur les parquets américains. Des gros shoots comme on les aime, mais Jesus ne se résume pas qu’aux tirs du parking, il est grand temps de le savoir. Allez, enjoy. 

De 1996 à 2014, Ray Allen a enchaîné ficelle sur ficelle, faisant du joueur le recordman de 3-points inscrits en carrière (pour combien de temps ?). En catch-and-shoot, en sortie d’écran, en sortie de dribble ou après un step-back, Allen avait toute la panoplie qui le rendait si indéfendable. Si en plus on lui rajoutait un coach capable de lui dessiner des plays afin de rendre son jeu sans ballon encore meilleur, c’était définitivement peine perdue pour les défenseurs. Même si on a évidemment retenu en majorité son tir extérieur, Jesus nous a montré tellement plus que des shoots longue distance. Ce top des meilleures actions de sa carrière, sorti lors de l’annonce officielle de sa retraite en 2016, en est le parfait exemple. Certains l’ont peut-être oublié, mais Ray Allen a enchaîné les gros tomars, surtout lors de ses premières années. Pas spécialement impressionnant physiquement, le jeune Allen, très longiligne, avait des mollets de feu et n’hésitait pas à se jeter dans la raquette adverse. Mais attention, si certains grands attaquants peuvent se cacher en défense, c’était loin d’être le cas pour le double champion NBA (demandez à Kobe). La NBA ne l’a pas oublié, et nous a placé un petit contre décisif sur Tyson Chandler. Gros dunkeur, gros défenseur, un des meilleurs shooteur de l’histoire… bienvenue au Hall of Fame, Monsieur Ray Allen. 

Il est temps de ressortir ce Top 10, sorti à l’origine pour sa retraite, pour honorer un des joueurs qui a marqué l’histoire de la NBA. Même si le parking était sa deuxième maison, on ne peut le réduire à ses exploits longue distance, car ce serait oublier tout ce que le joueur savait faire sur un terrain de basket.


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