Dwyane Wade confirme : Pat Riley ne lui a envoyé aucun message… ni avant ni pendant ni après la free agency

Le 21 sept. 2016 à 22:12 par Tarik

Dwyane Wade

Le départ de Wade pour Chicago a fait couler beaucoup d’encre et cela n’est pas prêt de s’arrêter. Entre choix sportif, raisons perso et gros sous, difficile de déceler le vrai du faux et savoir ce qui a réellement motivé Flash à quitter South Beach. Reste les faits. En voici un…

Sa signature pour Chitown avait secoué le monde NBA presque autant (voire plus pour certains fans du Heat) que celle de Kevin Durant chez la concurrence. Parmi les raisons du divorce, on a dit que Pat Riley avait fait le pingre, et D-Wade, l’ingrat. Lorsqu’un journaliste du Miami Herald interroge l’arrière sur un mail que lui aurait envoyé son ancien boss aux cheveux gominés, voici ce qu’il répond :

Y a un truc marrant avec les téléphones, parfois le correcteur automatique peut tout gâcher.
Donc non, je ne l’ai pas reçu, mais je suis sûr que ça va arriver.

Et bim. On le sait, le MVP des Finales 2006 a clairement été vexé par l’attitude de son ancien mentor et le démontre ici en pratiquant l’ironie à merveille. Un mail ça laisse des traces. D’ici quelques mois, on en saura un peu plus sur ce fameux long courriel que Riley dit avoir rédigé en juillet dernier. Peut-être qu’ils nous sortiront alors une histoire de coupure d’électricité ou de réseau qui a flanché. Ça serait d’ailleurs une belle réponse du même ton que Riley pourrait formuler “Sorry Dwyane, je t’avais dit qu’on avait pas assez d’oseille. L’e-mail n’est jamais parti parce qu’on a pas payé le fournisseur d’accès à Internet.” Bon, évidemment (et c’est bien dommage) cela ne se passera pas comme ça. Le Heat fournira un courrier en bonne et due forme pour rendre hommage à leur numéro 3 et aux treize années passés en commun.

Pour 47 millions de dollars sur deux ans, Dwyane Wade a choisi de faire son “coming home” et dire adieu à son statut de numero uno, difficilement contestable à Miami (même à l’époque de LeBron selon certains) car à Chitown, et Flash l’a lui-même reconnu, le patron s’appelle Jimmy Butler.

Source : Nbcsports.com

Source image : Youtube