Joyeux Nerlens Noel et Bon Nene, tous nos voeux de Matt Bonner
Le 03 janv. 2016 à 11:33 par David Carroz
TrashTalk Service Announcement : cet article n’a d’autre but que de vous dresser le portrait d’un joueur, d’une franchise ou de tout autre acteur de la NBA en jouant sur les mots pour vous divertir, en visant un contenu ludique. La lourdeur des blagues composant cette rubrique n’ayant d’égal que la légèreté avec laquelle nous vous conseillons de la lire, nous vous remercions de votre grande mansuétude.
Lassés par le soleil, Lassie par notre chien, la soul dans les écouteurs, nous décidâmes, de coeur, de nous rendre dans le grand nord, espérant trouver un peu de froid. Malheureusement, l’errance en direction du pays des Caribous ne nous permet pas d’arriver à l’arène des neiges et d’être libérés ou délivrés de cette température printanière, mais plutôt d’atterrir au Air Canada Centre, loin de notre objectif de glace.
On a eu tort, honteux, de croire que la maison du Père Noël pouvait être ici en cette périodes des fêtes, alors que les défaites et Nerlens sont plutôt à Philadelphie. En effet, on visitera la Canada Dry, ou le Canada Drake si vous êtes fans de rap, dans quelques semaines pour le match des étoiles. Non, c’est la Laponie qu’on aurait dû viser, mais les Lapons crétons étant moins marrants que les lapins crétins, on a abandonné l’idée de voir Laponie and Clyde, Drexler n’ayant jamais porté le maillot des Raptors. La question se pose alors de savoir quel sujet aborder à ce moment de l’année. Wilkens pense qu’il faut qu’on parle des Hawks, mais on ne voit pas le rapport. So, nique sa mère Lenny. Ne nous voilons pas la farce, les gens veulent de la Luol Dinde aux marrons, aux marrants pour ceux qui aiment les comics comme Brook Lopez. Super, man, on progresse doucement, cela pourrait nous éviter de prendre le Christ en thème lors des fêtes de la nativité, surtout que contrairement à Big Al, nous détestons les fleurs car allergiques au pollen, préférant le vin au Cana lors des noces. Ok on avoue, on a une pâle-estime du nouveau pote de Larry qui Sanders en fumant, mais son attitude est naze, arrête.
Revenons en à Noël, Gallagher comme à la guerre, des boutons pour les pré-pubères ou des moutons pour les band-wagonners, même si on parle plutôt de Paix à cette période de l’année, voire de pets pour ceux qui ont abusé des flageolets, comme un tir de Joakim qui Noah son chagrin dans une bonne coupe de champagne à défaut d’une coupe de cheveux correcte. Hum, on va nous prendre pour des haters. Bisou sur la Jooks pour se faire pardonner, le divin enfant, et on oublie tout, même que ça le pique d’être dans les rumeurs de trade. Cette année, Noël le gratte dans de telles circonstances. Par pitié, ne Thiriez pas sur l’ambulance, et pouvez-vous peut-être – ou peut chêne si vous êtes des glands – laisser les Bulls autres que celles de Noël au calme, OKLM, OKC. Voilà, on connait sa prochaine destination, ou des six nations si vous êtes fans de rugby et sous le Guy, novices au moment de célébrer la nouvelle année.
Il est donc maintenant temps de regagner nos pénates, laissant nos peines attenantes de côté, pour profiter d’une nouvelle année. 2016, deux mille matchs serrés, car très étroit font seize, sans soixante-quatre, car ce numéro n’a jamais été porté en NBA, l’un des quinze dans ce cas. Coïncidence avec le passage de 2015 à 2016 ? Je ne crois pas, ou alors le Thierry Hazard fait bien les choses quand il ne s’agit pas de musique. On préfère les chants de Noël, comme quand Tino Rossi gnôle, du verbre gnôler, pousser des cris après un verre avec Gérard, Collomb semble apprécier à Lyon, Zion se fie aux urnes et aux autres.
Sur ce, je vous laisse, ou double si vous êtes trop lents pour comprendre, en vous souhaitant donc une année pleine de basket, de kiff et de bonheur. Enfin pas trop tôt non plus, il faut dormir un peu. En espérant qu’à Noël, vous n’êtes pas allez à la messe sans foi, comprendra qui peut.
Source image : Anto Hollywotion pour TrashTalk