Top 10 du jour : la découverte de la Nouvelle-Zélande, essentielle pour que Steven Adams devienne le GOAT

Le 13 déc. 2015 à 11:16 par David Carroz

Top 10, Top 5

Bonjour chers amis. Le Top 10 quotidien nous arrive en ce dimanche d’une contrée lointaine, la Nouvelle-Zélande. En effet, il y a trois cent soixante-treize ans, lors de la conception de Tim Duncan, le Hollandais Abel Tasman, accompagné de Rik Smits et Mark Van Bommel, découvrait cet archipel de l’Océan Pacifique. Une aubaine pour la NBA.

En effet, lorsqu’on voit les grands noms néo-zélandais qui ont rempli les rangs de la Ligue au cours de l’histoire, on ne peut que remercier le navigateur d’avoir trimballé son embarcation dans le coin. Entre Sean Marks, Kirk Penney, Aron Baynes, Steven Adams et… ben en fait c’est tout. Et c’est bien assez quand on voit un tel condensé de talent et de swag, concentré dans la moustache du dernier nommé qui aurait fait vibrer jusqu’à Freddie Mercury. Mais bon en même temps, on trouve que le basket ce n’est pas vraiment du sport là-bas, où tout est neuf et tout est sauvage. Non, ce qu’on aime, ce sont des confrontations plus viriles (on en revient encore à la pilosité faciale de Steven Adams) mais correctes, spécialités locales. En effet, qui dit Nouvelle-Zélande, dit rugby, et donc  All Blacks. Et pour nous Français, des fesses bien rouges.  Mais on n’est pas rancuniers, la preuve on profite de l’occasion pour  passer un big up à feu Johan Lomu, qu’on aurait bien aimé voir lors d’un duel au poste avec le Shaq, histoire de se marrer.

Personne ne sait si Abel Tasman a eu le droit à un haka lors de son arrivée pour lui souhaiter la bienvenue, mais si son nom a plutôt été laissé à l’île voisine de Tasmanie, c’est peut-être qu’il n’a pas apprécié l’accueil. Au final il se contente donc d’un territoire quelconque connu uniquement à cause d’un diable et dont on attend toujours le premier joueur NBA. Rien de bien glorieux au final. Quand on voit ce que la Nouvelle-Zélande a pu apporter au basket, ne serait-ce que grâce à Aron Baynes qui méritait le titre de MVP des Finales en 2014, on se dit que le Batave n’entendait vraiment rien à la balle orange, pourtant couleur de son pays. Mais il n’en demeure pas moins d’une certaine façon la raison de l’émergence de Movember et on lui reconnaitra sa part de responsabilité lorsque Steven Adams régnera sur la Ligue après avoir mangé l’intégralité de ses adversaires. Au sens propre.

Ce sera tout pour la minute culture du jour. On vous laisse maintenant savourer votre Top 10 bien mérité.

Source image : @artkor7

Source vidéo : youtube.com


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