Fat interview de Tony Parker dans le prochain numéro de Society, demain !

Le 03 sept. 2015 à 19:15 par Bastien Fontanieu

Après avoir notamment zoomé sur François Hollande et Snoop Dogg pour ne citer qu’eux, le quinzomadaire de So Press se penchera demain sur un copain qu’on connaît bien puisqu’il s’agira de TP !

Actuellement dans une des missions les plus importantes de sa brillante carrière, celle de gagner l’or à l’EuroBasket devant son public, le meneur des Spurs a accordé une interview exceptionnelle dans laquelle il revient notamment sur son année rookie, l’évolution de l’équipe de France et ce qu’il a déjà réalisé à 33 ans. Bien évidemment, une interview pour une comme Society ne pourrait avoir lieu sans parler du monde qui entoure l’homme, que ce soit l’actualité de différents pays ou la famille dans laquelle il a grandi. On a donc obtenu quelques extraits axés sur le basket de la part de nos copains, qu’on vous propose ici avant leur publication demain !

L’Equipe de France et les jeunes
Tu peux avoir une génération très forte et qui ne veut pas lâcher, il y a des problèmes d’ego, etc. Mais chez nous, les jeunes Evan Fournier ou Rudy Gobert, ils entrent dans le moule et ils n’ont pas le choix.

Lui et le statut de rookie
Quand j’étais rookie à San Antonio, j’allais chercher les donuts pour les joueurs les jours de match, j’apportais le café pour Steve Smith et je portais le sac de Malik Rose et de Bruce Bowen, toute la saison. Et je le faisais avec plaisir. (…) En équipe de France, pareil, ils me demandent s’ils peuvent porter quelque chose, sauf qu’en équipe de France, je ne les fais pas trop chier, les jeunes. Juste un petit bizutage vite fait: pendant un entraînement ouvert au public, le mec doit jouer sans son short. Juste en cuissard. Ça fait marrer les gens, et il se tape l’affiche…

Match contre Stephon Marbury, lors de sa deuxième année où Marbury le mange

Marbury, il m’avait défoncé ce jour-là, mais alors vraiment défoncé, bien comme il faut, sportivement je veux dire, et du coup, il m’en mettait plein la tête, c’était hyper vulgaire. Les Américains sont très arrogants, donc dans des situations comme ça, tu morfles. Il me disait que je n’avais rien à foutre ici, qu’il était en train de me tuer. Et c’était vrai. Jusqu’à ce que le coach me prenne à part et me gueule dessus pour que je me réveille.

On a déjà hâte de lire la suite et en savoir plus sur les coulisses du patron. Vous pourrez retrouver le nouveau numéro de Society dès demain, chez le libraire le plus proche !

Source image : RTL


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