Une reconstruction sous le signe de la bonne humeur : retour sur le Media Day 2014 des Celtics
Le 30 sept. 2014 à 01:05 par Anthony
A l’instar de nombreuses équipes, les Celtics faisaient également leur rentrée aujourd’hui. Toujours en reconstruction, la Maison Verte espère réaliser une meilleure saison que la précédente, et apparemment l’optimisme était de mise durant cette “rentrée des classes”. Même Rajon Rondo s’est décidé à sortir de sa baignoire, histoire de faire quelques photos et de répondre aux questions des journalistes.
Et on commence donc avec le leader des C’s qui tape la pose, mais dont l’avenir semble toujours aussi flou.
Le meneur All-Star a justement profité de cette journée pour apaiser les tensions et exprimer son envie de rester dans le Massachusetts. Discours politiquement correct mais obligatoire de la part du n°9 des Verts.
Je suis juste impatient de retourner sur le terrain et de montrer ce que je peux faire.
Rondo dit qu’il veut rester à Boston : “Les fans, les gens ici me donnent envie de rester.”
Jeff Green a travaillé sa manipulation de balle, son physique et bien d’autres choses cet été.
“Je ne me soucie pas de mes minutes. Je travaille, ensuite on verra comment le coach veut m’intégrer dans le système.”“J’ai beaucoup travaillé cet été, sur tout les aspects de mon jeu pour devenir un joueur plus complet.”
“Je veux plus d’agressivité. Plus de pression, plus de rythme que la saison passée.”“Si vous deviez faire une liste des prétendants au titre dans cette ligue, nous ne serions pas dessus. Nous devons donc faire les petites choses nécessaires.”“Faire les PlayOffs est un objectif un long terme. À l’heure actuelle, on veut déjà construire une équipe compétitive.”
Une rentrée qui reste sous le signe de la bonne humeur et de l’optimisme. Même si les PlayOffs seront plus que difficiles à atteindre pour les Celtics, le statut d’outsider leur convient tout à fait. L’objectif principal cette saison sera donc de donner la possibilité aux jeunes Sullinger, Olynyk, Smart et autres de progresser et de prendre confiance, sous la tutelle d’un Brad Stevens qui a pris ses marques sur le banc de la Maison Verte.