La légende du choke en NBA et dans le monde du sport
Le choke, c’est le cauchemar de n’importe quelle équipe en NBA et, une fois obtenue, il est très difficile de s’enlever la réputation de chokeur.
Le terme pourrait être lié à la définition d’upset, sans aucun doute. Les gameuses et gamers en ont certainement déjà entendu parler. Vous avez forcément en tête ce moment où votre pote vous a gâché le Top 1 alors que vous en étiez à 12 kills et qu’il avait juste un mec à 1 PV à gérer. Ou cet ami qui ne sait pas à jouer à 2K et qui n’arrive pas à défendre en 2v2 en Park. Bref, revenons en au monde de la balle orange IRL, car c’est autrement plus douloureux de perdre en Playoffs NBA qu’une partie de Play.
On dit d’un joueur ou d’une équipe qu’ils chokent quand ils sont censés assurer et qu’ils passent totalement à côté. Tout le monde se rappelle du surnom donné à LeBron James après les Finales NBA 2011 face aux Mavs. Grandissime favori avec le Heat, la chute avait été difficile à avaler pour “LeChoke” James. Pourtant, le Chosen One ne s’est pas toujours trouvé du mauvais côté d’un choke. Poke au fameux blew a 3-1 lead des Warriors en 2016 qui reste le plus gros choke all-time. Golden State est littéralement intouchable cette année-là. Stephen Curry vient de devenir le premier MVP unanime de l’histoire et les Dubs réalisent la plus grosse saison régulière all-time avec 73 victoires. Ils viennent de remonter un 3-1 face au Thunder de Russell Westbrook et Kevin Durant et ne sont plus qu’à un seul match du titre et… ce sont les Cavs qui débouchonnent le champagne dans le vestiaire de l’Oracle Arena. Enfin, on ne pouvait pas finir cette définition sans envoyer un gros S/O à Doc Rivers, passé maître dans le domaine du choke depuis de nombreuses années. Et pour ceux qui ne sont pas encore rassasiés, on a sorti un petit top dédié aux plus gros chokes individuels de l’histoire.
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