Les 10 bonnes raisons de suivre les Toronto Raptors sur la saison 2024-25
Le 28 sept. 2024 à 13:31 par Clément Hénot
Nouvelle saison NBA est synonyme de nouveau tour d’horizon des franchises au cours des 30 previews en 30 jours. Même si certaines équipes sont, sur le papier, plus attendues que d’autres, toutes ont des raisons d’être suivies cette année et on va vous le prouver ! Voici par exemple les 10 raisons de regarder des matchs des Toronto Raptors en 2024-25, et honnêtement, il y en a !
#1 : Scottie Barnes, le leader incontesté
Une fois encore, ce fou furieux de Scottie Barnes sera l’atout principal des Dinos cette saison. Sa polyvalence, son énergie et son potentiel sont autant de bonnes raisons de s’intéresser aux Raptors. Le rookie de l’année 2022 continue de progresser dans tous les compartiments du jeu pour devenir un joueur qui a de moins en moins de points faibles. Il est déjà incontournable en NBA, au point d’avoir fêté sa première étoile la saison passée, la première d’une longue série ?
#2 : les 30 ans de la franchise, avec le logo spécial
La franchise canadienne fête ses 30 ans cette saison. Fondée en 1995, elle a remporté le seul titre NBA de son histoire 24 ans plus tard en 2019 face aux Warriors. Et pour ses 30 ans, les Dinos vont se rappeler au bon souvenir de l’époque Vince Carter et Tracy McGrady. Le logo représente en effet le dinosaure rouge présent sur les maillots dans les nineties, ce qui laisse présager un retour à cette identité visuelle au moins sur cette saison.
#3 : les échanges de maillot de Gradey Dick
Si rien n’indique qu’il sera retiré un jour, le maillot de Gradey Dick est en tout cas prisé par les joueurs adverses dans l’optique de faire des jersey swaps rocambolesques. On en a eu l’exemple l’an dernier avec le rookie du Magic Anthony Black. Les deux zouaves ont échangé leurs maillots, et on vous laisse deviner ce qui en est ressorti. Les sourires satisfaits des deux jeunots en disaient long sur ce qu’ils ont fomenté pendant tout le match à l’époque. En tout cas, on a désormais hâte de voir Gradey Dick échanger son maillot avec Nassir Little, Trae Young, Bruce Brown, Derrick White, Kevin Love, LaMelo Ball ou encore James Harden.
#4 : Kendrick Lamar qui prend la place de Drake à la Scotiabank Arena
Vous n’êtes pas sans savoir que depuis plusieurs mois, Drake, rappeur Canadien et actionnaire des Raptors, livre une guerre sans merci à Kendrick Lamar par chansons interposées. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ce dernier remporte pour l’instant ce “concours” haut la main. Celui qui performera au Superbowl LIX met une véritable branlée à son rival, si bien qu’il sera peut-être amené à s’asseoir en courtside à la place de Drake pour les matchs des Raptors. D’ordinaire, K-Dot est plutôt du côté de Los Angeles, mais possible qu’il devienne bientôt maire de Toronto vu le sale qu’il fait à sa victime. Le natif de Compton va même ordonner la diffusion de son morceau phare “Not Like Us” dans la salle à chaque match désormais.
#5 : l’avènement d’Immanuel Quickley et RJ Barrett
Arrivés en provenance des Knicks en cours de saison dernière, Immanuel Quickley et RJ Barrett ont très bien pris leurs marques au Canada. Le premier a fait sauter la banque et a prolongé pour 175 millions de dollars sur 5 ans, le deuxième pourrait bien décrocher un gros contrat également. Mais surtout, les deux ont haussé leur production statistique depuis qu’ils sont en ville. Certes, ils gagnent moins qu’à New York, mais sont davantage responsabilisés et pourraient bien représenter une belle surprise cette saison. Reste à voir jusqu’où ils pourront porter les Raptors la saison prochaine, dans le sillage de leur franchise player Scottie Barnes.
#6 : les coups de gueule de Darko Rajaković en conférence de presse
Le coach des Raptors est un sanguin et quand il estime que ses Raptors se font voler, il ne se fait pas prier pour monter au créneau. Egalement très véhément sur son banc, il va être l’une des principales attractions de cette équipe, déjà pour voir jusqu’où il pourra la mener, mais aussi pour ses coups de sang à venir, comme face aux Lakers la saison dernière, lorsqu’il qualifiait la prestation du corps arbitral de “honte”. On a hâte du prochain match face aux Celtics lors duquel Jayson Tatum tentera 24 lancers-francs contre seulement 8 pour l’ensemble des Raptors.
#7 : voir si Ja’Kobe Walter est plutôt Ja’Kobe Bufkin, White ou Bryant
Parce qu’avec un blaze comme ça, on peut aller du tout au rien, en vérité, on n’a même pas compris cette phrase, c’était juste pour la vanne.
#8 : la nouvelle nouvelle chance d’Ochai Agbaji
Pour l’instant, la carrière NBA d’Ochai Agbaji ne ressemble pas vraiment à celle qu’il avait imaginé, à savoir devenir au moins un solide joueur dans cette ligue. Pour l’heure, il doit se contenter des miettes et ses statistiques n’ont jamais été resplendissantes, ni à Toronto, ni à Utah, où il évoluait avant de rejoindre la franchise canadienne. Âgé de “déjà” 24 ans, il a forcément moins de potentiel que n’importe quel autre jeune, mais le temps commence à presser pour le joueur, qui n’aura pas 50 fois sa chance. A Toronto, il a la chance de joueur dans une équipe qui ne va pas espérer grand chose de sa saison, il pourrait en profiter pour se montrer, mais il va falloir cravacher pour se faire sa place.
#9 : les dingueries de Kelly Olynyk
De retour dans son pays natal depuis quelques saison en NBA, Kelly Olynyk est toujours capable d’offrir de belles dingueries de temps à autres. Malgré sa dégaine d’informaticien privé de douche, il est toujours capable de prendre feu au shoot et d’être casse-bonbons en défense. L’intérieur aussi fuyant que chevelu a encore de belles choses à offrir et nul doute que dans une équipe de Raptors qui va se jouer des joueurs offensifs de complément, Kelly Olynyk a de belles chances de briller.
#10 : Le retrait du maillot de Vince Carter, ENFIN !
Vinsanity l’avait déclaré à plusieurs reprises, il espérait que son maillot soit retiré un jour par les Raptors. Les Nets ont tout de même dégainé avant, mais le 2 novembre prochain on aura donc droit, ENFIN, à la montée du maillot de Vonsanity sous le plafond de la Scotiabank Arena. Peut-être que le trentième anniversaire de la franchise a donné des idées à la franchise du grand nord, mais en tout cas VC mérite cent fois cet honneur, même s’il n’a jamais remporté de titre, ni ici ni ailleurs. A Toronto Vince a été le premier joueur historique grâce à son côté ultra spectaculaire, alors entre le retour à l’identité visuelle de l’époque et la soirée qui lui sera enfin dédiée, ça va chialer dans les chaumières torontesques cette saison !