Free Agency 2024 : Kevin Porter Jr. signe pour deux ans aux Clippers

Le 01 juil. 2024 à 01:54 par Céleste Macquet

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D’après Shams Charania, l’insider de The Athletic, Kevin Porter Jr. aurait trouvé un accord avec les Clippers pour deux ans avec une player option alors que plusieurs autres franchises étaient sur le dossier. Avec Paul George potentiellement sur le départ, les Clips sont désespérément à la recherche de guards polyvalents.

Kevin Porter Jr. has agreed to a two-year deal with the Los Angeles Clippers, including a player option, sources tell @TheAthletic @Stadium. After six weeks of strong play in Greece in April and May, Porter had multiple NBA suitors and chose the Clippers. pic.twitter.com/0R19BUW6bu

— Shams Charania (@ShamsCharania) June 30, 2024

Il tournait à presque 20 points de moyenne en 2023, mais après son arrestation pour violences domestiques, son équipe des Rockets le trada au Thunder, tandis qu’OKC le coupa immédiatement. Triste fin pour un joueur extrêmement prometteur, le plus jeune de l’histoire de la grande ligue à envoyer 50 points et 10 passes décisives sur un match.

KPJ a pourtant réussi à se relancer bien comme il faut. Parti en Europe pour montrer de quel bois il se chauffait, Kevin a proposé quatre matchs à 20,8 points, 6,5 passes et 8,3 rebonds de moyenne au PAOK. Le message est clair, le Kev’ est trop fort pour ne pas jouer en NBA. Après sa petite aventure printanière en Grèce, il se voit donc proposer plusieurs offres par des équipes NBA. C’est finalement celle des Clippers sur deux ans qu’il retiendra, pour possiblement former un duo de joueurs à problèmes avec Joshua Primo.

Six semaines de basket de l’autre côté de l’Atlantique auront suffi pour convaincre les franchises de la Grande Ligue de redonner une chance à Kevin Porter Jr. Avec ce contrat de deux saisons aux Clippers de Los Angeles, KPJ va pouvoir tenter de se racheter en NBA et montrer qu’il est de ceux qui peuvent contribuer à amener une équipe jusqu’au titre. Aux Clippers, on ne vise pas moins que ça.

Source texte : The Athletic