Free Agency 2024 : Isaiah Joe prolonge au Thunder pour 48 millions sur 4 ans !
Le 01 juil. 2024 à 15:40 par Julien Vion
Libre de tout contrat, Isaiah Joe a prolongé dans l’Oklahoma pour 48 millions de dollars sur 4 ans. Le Thunder sécurise son apport en sortie de banc avec l’un des meilleurs snipers de la ligue.
La veille de son anniversaire, il y a des nouvelles qui donnent le smile.
48 millions de dollars sur 4 ans, c’est-à-dire une moyenne de 12 millions la saison, ça semble plutôt sympa avant de siffler sa vingt-cinquième bougie. Isaiah Joe, sélectionné par les Sixers au second tour de la Draft NBA 2020, valide un beau contrat après les deux meilleures saisons de sa carrière.
En 151 rencontres depuis son arrivée dans les rangs du Thunder en 2022, il affiche une superbe efficacité de 41,2% à 3-points en cinq tentatives, tandis que son exercice 2023-24 a confirmé qu’il était capable de prendre feu dans une fin de match contre presque n’importe qui. Le rôle dans l’effectif est on ne peut plus clair, l’avenir aussi désormais.
Babababa et allez double masterclass de Sam Presti : 12 millions l’année sur Isaiah Joe, 48 millions sur 4 ans pour un des meilleurs shooteurs de toute la planète.
Le Thunder sait déjà qu’il y aura Joe et Wiggins en sortie de banc ! https://t.co/MhMdtJLyVa
— TrashTalk (@TrashTalk_fr) July 1, 2024
Pour OKC, la prolongation permet de consolider les bases d’un effectif d’une grande qualité à très bas prix. En quelques minutes, Sam Presti a validé Aaron Wiggins et Isaiah Joe, tous les deux très importants dans la rotation de Mark Daigneault. Avec 38,9% de réussite à 3-points, le Thunder était la meilleure équipe de NBA derrière l’arc la saison dernière, en grande partie grâce à une second-unit particulièrement adroite.
Dans cette Free Agency, le dernier dossier reste celui d’un Big Man supplémentaire pour venir apporter un peu d’aide à Chet Holmgren. Selon l’insider Shams Charania, le front-office est à fond sur Isaiah Hartenstein, arrivé à la fin de son contrat avec les New York Knicks.
Source texte : Adrian Wojnarowski