Officiel, les Pacers sont en vacances : une fois de plus, lndiana a surpris son monde

Le 28 mai 2024 à 05:23 par Giovanni Marriette

Vacances Pacers 2024
Source image : TrashTalk

47 victoires, 35 défaites, Damian Lillard et les Bucks au tapis, les Knicks terminés en demi-finales de Conf, et une résistance sommes toutes honnête face aux Celtics. Saison plus que réussie pour les Pacers, vacances plus que méritées !

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C’est le petit jeu auquel on aime jouer chaque année, même s’il nous fait passer pour des incultes, pour des Hexperts avec un grand H. Ce jeu quel est-il ? Pronostiquer la saison des Pacers en octobre, et revenir six mois plus tard pour voir à quel point on s’est gourré. Quand on les voit fort ils sont à chier, quand on les voit moyen ils sont très bons, etc, etc. Cette année ? On les voyait moyen, vous nous voyez venir. Il est vrai que l’on n’aurait pu anticiper l’arrivée de Pascal Siakam à la trade deadline, mais au final ceux que l’on imaginait tout au plus comme de la chair à pâté sur un premier tour de Playoffs auront duré beaucoup plus que cela.

Saison régulière rondement menée, avec un Tyrese Haliburton sensationnel jusqu’en février, un Mathurin qui grandit vite, des vétérans qui assurent et un Pascalos qui cartonne dès son arrivée dans les champs. Les Playoffs ? Une succession de coups en faveur d’Indiana, c’est vrai, mais encore faut-il provoquer le destin et ce que les Pacers ont fait ils ne l’ont volé à personne. Oui Giannis Antetokounmpo était absent au premier tour, mais les Bucks présentaient malgré tout une équipe championne NBA en 2021, composée d’un meneur all-time et de deux autres border All-Star douze mois auparavant. Oui les Knicks étaient lessivés et blessés, mais les Pacers ne se sont pas gênés pour porter l’estocade. Et on en place une pour finir aux Andrew Nembhard et autres T.J. McConnell, remplaçants naturels de Tyrese Haliburton face à Boston lorsque ce dernier était blessé et magnifiques d’abnégation et de résilience, comme toute cette belle équipe des Pacers.

Rick Carlisle peut être fier, et cette défaite en finale de Conf n’a rien d’illogique. Déjà car Boston était bien plus fort, mais aussi, et surtout, car Indiana méritait d’être là. Vacances comment ? Vacances mé-ri-tées.


Tags : Pacers, playoffs
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