Le calendrier 2020-21 des Dallas Mavericks – première partie : dates importantes, matchs immanquables, c’est par ici !
Le 06 déc. 2020 à 16:25 par Giovanni Marriette
Il est prêt, il est officiel : le calendrier de la saison 2020-21 est enfin tombé ! Le programme de la première partie de saison seulement, jusqu’à la coupure d’un All-Star Week-end dont on ne sait pas encore vraiment à quoi il ressemblera. Sans plus attendre ? Focus sur le calendrier… des Mavericks !
On met les pieds dans le plat direct. Suns, Lakers, Clippers d’entrée, paye ton apéro. Un tour à l’Est plus tard et les Rockets et les Nuggets seront au menu, alors que le 16 janvier il faudra aller défier un grand grec dans le Wisconsin. Nouvelle session Ouest fin janvier, avant une série de sept matchs à la casa pour faire le plein de wins, plutôt conseillé avant d’enchainer Celtics, Sixers et Nets après la Chandeleur. Pour le reste ? Tout est juste en dessous, on vous a un peu mâché le travail.
# Plus long road-trip : 3 matchs (à quatre reprises), car il ne faudrait pas trop fatiguer les grandes jambes de Kristaps Porzingis.
# Plus longue session maison : 7 matchs (du 5 au 18 février face aux aux Warriors x2, aux Wolves, aux Hawks, aux Pels, aux Blazers et aux Pistons).
# Matchs en antenne nationale : 16 (deuxième plus gros total de la Ligue, la fanbase de J.J. Barea a réussi son forcing).
# Nombre de back-to-backs : 6 (plutôt préservés les Mavericks sur cette première phase).
# Nombre de rencontres tôt en France : 3, soit autant d’occasions de faire aimer le basket à vos parents.
# Trois affiches à retenir : ça commence très fort avec un Luka/LeBron dès le 26 décembre au Staples Center, alors que dès le lendemain le meneur des Mavs se rappellera au bon souvenir des Clippers et de Reggie Jackson. Les 4 et 11 février on assistera également au duel entre Luka, encore lui, et… Trae Young, miam-miam, alors que les Kings semblent avoir obtenu une dérogation pour ne pas avoir à affronter celui qu’ils n’ont pas voulu choisir en 2018. A noter qu’on attendra le printemps pour voir Kristaps Porzingis en planter 35 au Madison sous les huées d’un public dont on espère qu’il sera de retour.