Les Pistons, le Thunder et les Mavs ont fait un poker : Delon Wright, James Johnson, Trevor Ariza et Justin Jackson déménagent !

Le 21 nov. 2020 à 10:53 par Giovanni Marriette

Patrick Bruel 21 novembre 2020
Source image : YouTube

Bon courage pour faire tenir 400 infos dans un titre alors, pour une fois, va falloir lire l’intégralité de l’article. En fin de nuit trois franchises se sont installées à une table pour négocier de la chair humaine, et au bout du compte quatre hommes déménagent dans la foulée, entre Detroit, Oklahoma City et Dallas. Allez, on récapitule tout ça.

Ca bouge ça bouge, ça n’en finit plus de bouger et bon courage pour arriver à suivre. L’un des trades de la soirée ? Il concerne trois équipes et quatre joueurs, dont l’un qui vient tout de même de changer trois fois de proprio en 48h. Au final quelques pions qui bougent, des rosters qui s’affinent, et des projets qui se dessinent. Car oui, on a encore la force de faire des rimes.

Here’s the deal: The Mavericks gets James Johnson; Pistons get Delon Wright; OKC gets Ariza, Jackson and pick. https://t.co/ezb9dXnpGw

— Adrian Wojnarowski (@wojespn) November 21, 2020

  • Les Pistons récupèrent Delon Wright sur leur ligne arrière
  • Les Mavericks obtiennent James Johnson
  • Le Thunder accueille Trevor Ariza, Justin Jackson et, évidemment, des picks de lol

Blindés dessous et anticipant peut-être le départ de Derrick Rose tout en voulant faire de la place à Killian Hayes, les Pistons récupèrent donc un meneur solide en la personne de Delon Wright, mais qui ne prendra pas non plus toute la place dans la rotation. Les Mavericks ? Hello James Johnson et ses 16 millions, histoire d’amener un peu de virilité dans une équipe un peu tendre. Quant au Thunder ce sont Justin Jackson et Trevor Ariza qui débarquent, ce même Trevor Ariza qui a donc été depuis 48h un joueur des Blazers, des Rockets, des Pistons et désormais du Thunder, la bise à celui qui porte ses sacs. Le Thunder qui récupère évidemment un pick dans l’affaire, parce que 45 en magasin ça ne suffit pas, et un deal qui met tout le monde d’accord, phrase un peu con s’il en est puisqu’un deal est quand même censé mettre… bah tout le monde d’accord.

La NBA continue de faire sa mue hivernale, chacun trouve babouche à son pied et les premières semaines de compétition en décembre seront là pour nous dire qui a eu le nez fin et qui s’est pris les pieds dans le tapis. Allez, next.