Le Top 10 de la saison rookie de Brandon Ingram : ça sentait pas encore le MIP, mais les bras étaient déjà bien longs
Le 15 nov. 2020 à 16:40 par Giovanni Marriette
Brandon Ingram n’a pas attendu 2020 pour dominer, c’est juste qu’il le faisait un peu moins souvent. Allez hop, plongée rapide il y a quatre ans déjà, lorsque BI était jeune et maigre. Aujourd’hui ? Il est un peu moins jeune, et pour le reste on s’est compris.
Ca commence avec un slalom dans la défense gruyère des Rockets, puis avec un coast-to-coast dans celle trop lente des Kings. Cody Zeller passe ensuite par là pour se prendre un petit poster des familles, puis Pau Gasol se mange un tomar et se voit punir pour tout le mal qu’il a fait à la France, ça n’a rien à voir mais on s’en fout. Le Thunder sur un alley-oop, un certain Giannis Antetokounmpo trop lent puis un Alex Len à son tour postérisé, les victimes se comptent quand même par dizaines en cette année rookie et augurent alors le meilleur pour celui qui n’a pas encore vingt ans à l’époque. Juancho Hernangomez ? Sur la photo. Jonas Valanciunas et DeMar DeRozan ? Sur la photo ? Cheikh Diallo ? Sur. La. Photo. Les bras sont immenses, les décollages trop vifs, et si le leadership est alors discutable il n’en est pas de même pour la hauteur à laquelle Un Gramme termine ses actions.
Cinq minutes de violence entre Mars et Pluton, avec un paquet de visages déconfits entre ses aisselles et son bas-ventre. Brandon Ingram rookie c’était quand même un sacré délire, la preuve en image.