Crossover Culture s’invite sur les playgrounds de l’Hexagone : la marque venue tout droit de Venice Beach
Le 12 sept. 2020 à 11:43 par Benoît Carlier
Après de premiers pick-up games réussis outre-Atlantique où la marque est distribuée avec succès depuis 2018, Crossover Culture débarque en France avec l’intention de s’inviter sur les playgrounds aux quatre coins de l’Hexagone dans les années à venir. Préparez vos adversaires, ça va crosser fort.
— twelfthseptember (@twelfthsept) September 4, 2020
C’est sur le mythique terrain bleu de Venice Beach que Ryan Duke, fondateur de Crossover Culture, a trouvé l’inspiration. La plage et l’Océan Pacifique d’un côté, la skyline de la Cité des Anges en arrière-plan de l’autre, et un playground réputé au niveau relevé qui force les passants à s’arrêter pour observer quelques actions au milieu des palmiers ; le décors est planté, mais ne vous laissez pas avoir par ce spot idyllique, car rien n’est donné facilement lorsque la crème du streetball californien pose un pied sur ce bout de bitume paradisiaque. A chacun son style, sa façon de s’exprimer ou de trashtalker sur le terrain, et évidemment de se fringuer. Entre les quatre lignes du terrain, tout le monde développe son propre jeu, possède son move fétiche et se fraye un chemin à sa manière jusqu’au cercle. Les petits crossent les plus grand tel un Stephen Curry sur Rudy Gobert il y a quelques années et les grands dunkent par-dessus les plus petits comme cette fois où Tim Hardaway Jr. a carrément vu passer un avion dénommé Giannis Antetokounmpo au-dessus de sa tête. C’est aussi pour cela que Crossover Culture a décidé de développer des sneakers accessibles et de qualité mais aussi adaptées à chaque profil de joueur pour leur permettre d’optimiser leurs skills et de rester sur le terrain le plus longtemps possible en enchaînant les victoires. Pour Duke, c’est même le point de départ :
“Look good, feel good, play good, pay good.”
A l’instar de ce que son logo dégage, Crossover Culture possède un ADN et un style résolument urbains. Les designs sont épurés et font immédiatement la différence dans la rue et sur le court, mais ça n’est pas suffisant pour devenir un hit des playgrounds. C’est pourquoi la marque a dû innover pour concilier confort, amorti, stabilité et dynamisme, les quatre piliers de Crossover Culture et la priorité des streetballers. On se retrouve donc avec un concentré de technologie au bout des pieds, suivez l’ingénieur ! Pas besoin de sortir de Harvard comme Jeremy Lin pour comprendre, une tasse de café suffira à vous concentrer. D’abord, les concepteurs ont imbriqué une matière rigide au niveau de la semelle intermédiaire. La wishbone suspension offre un amorti renforcé et une stabilité améliorée, le tout doublé par le système d’énergie LP2 permettant d’absorber les chocs. Pour terminer sur l’inspection du bas de la paire, la semelle extérieure propose en design en forme de dents de requin pour garantir l’adhérence afin de ne pas glisser sur vos changements de direction. Si on remonte au niveau de l’empeigne, son moulage en 3D promet maintien et durabilité tout en gardant le style alors que le chaussant permet un enfilage facile et sa mousse souple à l’intérieur vous donnera envie de ne plus jamais les quitter.
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— twelfthseptember (@twelfthsept) September 9, 2020
Forcément, il y a de quoi flipper un peu avant de passer à la caisse. Mais pas de panique pour le prix qui reste en adéquation parfaite avec le marché. Ainsi, la Kayo LP2, modèle unique de la marque déclinée en plusieurs coloris, est proposée à 110 euros. Des éditions limitées seront proposées par la suite pour permettre à chaque baller d’exprimer son propre style sur le goudron ou sur les planches. Dans un premier temps, les sneakers seront disponibles exclusivement en ligne à partir de leur jour de sortie, le 12 septembre. Certains revendeurs spécialisés pourront référencer les modèles dès les prochaines semaines et, à terme, les lignes de produit textile, accessoires, ainsi que la gamme de pompes lifestyle qui est en cours de développement seront destinées aux magasins plus généralistes.
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— Crossover Culture FR (@Crossovercultfr) September 12, 2020
Dans un marché animé par les mêmes acteurs depuis des années, Crossover Culture souhaite bouleverser les codes établis. Un peu comme quand un Ja Morant tente de se frayer un chemin jusqu’au All-Star Game sur le poste le plus concurrentiel de la Ligue dès sa saison rookie ou quand Trae Young et Luka Doncic y parviennent dès leur seconde année en NBA. Retrouvez tous les modèles de la marque sur www.crossoverculture.eu et n’oubliez pas de suivre l’actu sur leurs réseaux sociaux (Twitter, Instagram et Facebook) !
Source : Crossover Culture