Preview de la TrashTalk Fantasy League – édition Hornets : un duo à 30 de moyenne, quand même !

La TrashTalk Fantasy League redémarre le 17 octobre, ce qui veut dire qu’il faudra sélectionner les joueurs bouillants chaque soir ! Mais sur qui foncer ? Et quel client impérativement éviter ? Zoom du jour sur les Hornets et un trio toujours excitant…

T’es pas encore inscrit à la TTFL ?! Par ici !

Pour tous ceux qui désireront inscrire des joueurs de Steve Clifford sur leurs decks cette saison, ce papier est fait pour vous. Focus sur une franchise qui vous offrira cette année au moins trois bonnes raisons de vous y pencher, une de plus que la saison dernière grâce à l’arrivée d’un certain DH. Petite pensée également pour un Marvin Williams capable de lâche de gros double-doubles de temps en temps, mais si vous jouez le général en TTFL, c’est bien vers les trois mecs ci-dessous qu’il faudra se tourner :

# Kemba Walker – Moyenne TTFL l’an dernier : 31,3 points

Il est le leader offensif de cette équipe de Charlotte et peut faire très mal dans les bons soirs. Sa rapidité et son handle lui permettent d’aller caler des points dessous et d’aller chercher des kilos de lancers alors que la masse de tirs qu’il prend de loin peut faire très très mal les soirs de fièvre. Les pointes à 50 points seront encore là cette saison, plus que jamais.
Quand tu prends 25 tirs tous les soirs ou presque, mieux vaut avoir le compas dans l’œil. Si vous avez compris la subtilité de cette phrase, vous avez compris la problématique de Kemba Walker.

# Dwight Howard – Moyenne TTFL l’an dernier : 30 points

A ceux qui disent que Dwight est fini et qu’il ne sera plus jamais ce mec dominateur que l’on a connu à Orlando et à de trop rares occasions depuis, on répondra simplement que le mec est une assurance tout risque en TTFL. Le genre de gars qui lâche minimum son 10/10 les soirs de disette et qui peut encore sortir des mixtapes à 30 points ou 20 rebonds quand il n’a pas mangé. A voir l’adaptation sous Clifford mais en voilà un qui pourrait vous ravir au moins une année de plus en terme de Fantasy.
La ré-gu-la-ri-té. La quoi ? La régularité, mot absent du vocabulaire de Dwight Howard, tout comme motivation et professionnalisme. On est un peu offensif c’est vrai, mais c’est quand même bien énervant de voir Dwightounet tourner à 30 de moyenne alors qu’on a l’impression qu’il pourrait faire péter le 20/20 tous les soirs ou presque.

# Nicolas Batum – Moyenne TTFL l’an dernier : 24,7 points

Scoring, rebond, passe, interception, contre, sandwich, ménage. Nico Batum c’est l’homme à tout faire, l’homme à tout bien faire. Parmi les joueurs NBA capables de taper des five by five, le Frenchie est sur tous les fronts et ça paye en TTFL. Quelques grosses chaleurs la saison passée et une moyenne globalement honorable. On attend encore mieux cette année et l’arrivée de Dwight Howard pourrait lui faire encore un peu plus de place pour réciter sa partition.
Le problème de Nicolas Batum est le même depuis des années, à savoir que le Français a toujours l’air d’en garder sous la semelle. Pourquoi ? On se le demande bien mais toujours est-il que Nico a parfois tendance à se cacher en attaque alors que son talent est aujourd’hui connu et reconnu. 25/8/8 le lundi ? Envoyez le 8/7/5 le mardi. Il a bien défendu et les Hornets ont gagné ? Super, allez dire ça au mec qui l’a pris ce soir-là en TTFL.

# Client mystère – Frank Kaminsky : il est vraiment très moche mais le garçon progresse. Toutes ses stats ont augmenté lors de sa saison sophomore (le mec s’est même cru chez lui au Rising Stars Challenge) et le pivot drafté par en 9 par Michael Jordan pourrait bien devenir un spot intéressant en TTFL. On garde le conditionnel pour l’instant car on n’est finalement peut-être pas très loin du prime du bonhomme mais on ne sait jamais et Frank the Tank pourrait bien en étonner plus d’un cette saison. Du genre passer dans les 15 points et 6 rebonds de moyenne, ce qui promet quelques soirées intéressantes en Fantasy. Mais il faudra être motivé pour cocher son nom.

Deux gros leaders et un Nico qu’on aimerait toujours plus incisif, plus une grande girafe en pleine croissance. Voilà pour l’essentiel de cette preview 2017-18 des Hornets. C’est pas les Warriors mais c’est pas Valladolid ou Gijon non plus, donc on continue de préparer soigneusement ses decks, et on y place deux ou trois Frelons. Allez, bzz.