Recherche nounou désespérément : les Lakers ont proposé à Ian Clark de veiller sur Lonzo Ball
Le 22 juil. 2017 à 08:29 par Giovanni Marriette
On l’oublierait presque mais les Lakers n’ont toujours pas réussi à se dégotter ce meneur d’expérience, désiré ardemment en Californie pour aider Lonzo Ball à grandir plus sereinement. Le dernier candidat rencontré sur la check-list ? Ian Clark.
Ils ont bien essayé Rajon Rondo mais sans réussite, puisque le champion NBA 2008 a signé avec les Pelicans. Ils ont même tenté d’approcher Derrick Rose mais ce dernier est annoncé comme le probable futur meneur titulaire de… Cleveland. Bah oui, faut suivre. La liste commence donc sérieusement à se réduire et c’est sur le récent back-up de Stephen Curry que les Angelinos auraient cette fois-ci jeté leur dévolu, histoire d’accompagner l’ancienne idole de UCLA par un tout frais champion NBA :
Les Lakers ont rencontré le free agent Ian Clark durant 45 minutes jeudi après-midi, d’après une source proche du dossier. Ils l’imaginent comme un bon mentor pour Lonzo Ball après avoir participé au titre des Warriors en 2017. Après quatre saisons seulement dans la Ligue, il pourrait donner de belles bases à sa carrière s’il faisait une belle saison cette année.
Capable de jouer sur les deux postes du backcourt et affichant de belles moyennes du parking (37,4% la saison passée), Ian Clark pourrait en effet être une belle option pour des Lakers qui ne se verraient pas obligés de lâcher des dizaines de millions pour un mec censé jouer les tuteurs de stage. Une opportunité qui pourrait également bénéficier au joueur, lui qui doit malheureusement rester planqué dans l’ombre de ses fabuleux teammates depuis son arrivée dans la Baie. Lonzo Ball, Ian Clark, Kentavious Caldwell-Pope et Jordan Clarkson, voilà qui pourrait constituer une base arrière intéressante pour bosser, en sachant que trois places restent encore vacantes dans le roster et que l’on attend toujours que Magic finisse son cigare et se remette au boulot après ses belles premières acquisitions.
Un déménagement qui serait en tout cas rapide puisque cinq heures de bagnole seulement séparent L.A. d’Oakland. Puis on est pas GM hein, mais franchement, tout ça nous paraît bien intéressant sur le papier. Non ?
Source : OC Register