Dion Waiters portera le 11 à Miami : ouf, il y a encore un peu de respect pour Wade au Heat

Ce n’est pas qu’on avait peur de voir l’impensable se réaliser, simplement avec les récents événements sur le marché on ne sait plus où donner de la tête : les fans du Heat peuvent dormir tranquille, ce n’est pas demain qu’on portera à nouveau le numéro 3.

Le respect existe encore, et surtout concernant le boulot abattu par Dwyane Wade lors de ses 13 saisons passées sous le maillot de Miami. On ne sait pas tous les détails concernant l’intégration de Dion Waiters, récemment signé dans le coin afin de cocher les cases grosses joues (1), jumper bien haut (2) et fessier généreux (3), mais on sait déjà que l’ex-arrière du Thunder portera le 11 puisqu’il a prévenu sur son compte Instagram que c’est plutôt son numéro porté au lycée qu’il préférera chez le Heat. En effet, c’est dans la banlieue de Philly que Waiters avait fait ses gammes et commencé à tourner quelques têtes, avant de régaler à Syracuse puis d’arriver en NBA. Et on vous le demande en fermant les yeux, quel numéro avait choisi Céline en évoluant en NCAA ? Le 3. Puis une fois que les Cavs avaient décidé de reconstruire avec lui ? Le 3. Et lorsqu’il fût transféré au Thunder ? Feinte, d’abord le 23 puis le 3. On claquait donc sévèrement des dents du côté de Sud-Plage en apprenant l’arrivée de Waiters dans la région, car il se pouvait que le plus gros des blasphèmes se réalise seulement quelques jours après le départ du meilleur joueur de l’histoire de la franchise. Finalement, il n’en sera rien, et on vous met ci-dessous la belle petite photo envoyée par Dion afin d’expliquer son récent choix : celui de rejoindre Miami pour seulement 2,9 millions la saison, au lieu de chercher des ponts d’or à droite comme à gauche.

Je n’ai pas fait cela pour l’argent… Je l’ai fait pour l’opportunité de jouer et prendre du plaisir. Tout le reste suivra !! J’ai simplement ressenti que c’était la meilleure situation pour moi et ma famille. J’aurais pu attendre et obtenir ce que je voulais. Mais je préfère être heureux que misérable au final ! Dans le sens où vous pouvez tout avoir et quand même être malheureux. C’est parti #HeatNation !

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