Le meneur de jeu Pablo Prigioni doit faire face à une décision difficile. Rester en NBA ou retourner en europe ? Sa femme a choisi son camp, elle veut retrouver le doux climat espagnol.
Ce samedi, Prigioni n’a pas tenu à éclaircir sa situation personnelle et son avenir avec les Knicks. Après l’élimination des new yorkais, il a préféré ne pas s’étendre sur son cas.
“Je ne pense pas que ce soit le moment de parler de ça. C’est douloureux de perdre. C’est douloureux d’être en vacances aujourd’hui. C’est l’équipe qui compte. Maintenant je préfère ne rien dire.’’
Le meneur argentin de 35 ans avait emmené dans ses bagages sa femme et ses deux enfants l’été dernier lorsqu’il avait décidé d’enfin franchir le cap et de rejoindre la NBA. Il n’avait alors signé qu’un contrat d’un an afin de déterminer si lui et sa famille s’adaptaient à leur nouvelle vie dans la grosse pomme. Prigioni a déclaré il y a peu qu’il avait été difficile pour sa femme de se faire à la vie aux States notamment à cause du fait qu’elle ne parle pas anglais et qu’elle n’avait jamais quitté l’Espagne auparavant.
Alors que le General Manager Glen Grunwald avait tenté de faire signer Prigioni pour deux ans, ce dernier avait préféré ne s’engager qu’un an, souhaitant faire ses preuves. Les Knicks désirent de leur côté conserver l’expérimenté arrière et une offre de $900,000 serait sur la table pour la saison prochaine.
En ce moment, les bonnes nouvelles pleuvent à New York… Alors que l’élimination est encore toute fraîche, tout semble déjà partir dans tous les sens, à commencer par Stoudemire et ses demandes d’explications.
Source : nypost
