Calendrier NBA : les nuits sans matchs cette saison et nos conseils pour ne pas s’ennuyer

Le 16 août 2024 à 00:47 par Robin Wolff

Fatigue
Source image : Pixabay

Chaque année, la NBA nous offre de rares pauses au cours de la saison régulière et généralement elles ne sont pas vraiment appréciées. Quelques nuits sans matchs où l’on s’ennuie, mais voici un tuto pour bien les repérer l’année prochaine et en faire bon usage. 

Cinq jours plus une semaine de punition. Voici ce que la NBA nous inflige en 2024-25. Pourtant nous n’avons pas fait de tampering, pas trafiqué les règles du CBA, mais c’est ainsi, pendant cinq jours plus une semaine nous n’aurons pas de matchs de la Grande Ligue.

Voici la liste des nuits d’ennui :

Voici les 10 jours durant lesquels il n’y aura pas de matchs en NBA la saison prochaine :

5 novembre – Jour d’élection aux USA
28 novembre – Thanksgiving
18 décembre – lendemain de NBA CUP
24 décembre – veille de Noël
14-19 février – All-Star Break
12 avril – veille de dernier…

— TrashTalk (@TrashTalk_fr) August 15, 2024

Pour mieux faire passer la pilule, le rédacteur de ce papier a décidé de vous présenter son programme lors de ces nuits plus calmes, vous vous en inspirez ou pas, mais ce sera toujours mieux que d’errer dans le noir.

  • Le 5 novembre : je (parce que je vais pas faire tout l’article à la troisième personne, ça serait pénible) décide de couper twitter. L’actualité politique, ça fatigue et je veux m’en évader. De ce fait, j’organise une soirée avec mes amis dans un sous-sol parisien, de ceux qui n’ont pas de réseau, pour danser au rythme de chansons de Disney. Le Donald de ma soirée ne sera pas le même que le votre. Sorry, not sorry !
  • Le 28 novembre : cette fois, je veux bien me plier au jeu et faire comme nos amis d’outre-Atlantique. Qu’on m’amène une dinde, un poulet, une poularde, tant qu’il y a Sot-l’y-laisse, il y a mon ventre plein de graisse. Dans ce contexte, manger n’est pas tricher, c’est une belle manière d’oublier.
  • 18 décembre : je ne vais pas vous mentir, la NBA Cup, ça n’est pas ma préoccupation principal, j’aime l’été, et le froid de la capitale devient dur à supporter. De ce fait, j’ai pris mes billets pour le Chili, ou un autre pays sud-américain. LeBron James ne me fera pas gober la salade, ce tournoi ne compte pas comme un titre à son palmarès.
  • 24 décembre : je suis bronzé, mais je suis rentré. Ma grand-mère m’a dit qu’il y aurait à manger, et vous me connaissez. Tant qu’il y a Sot-l’y-laisse, je débarque en express. La magie des fêtes, c’est pas la blette, la magie de Noël, c’est la moelle.
  • 14-19 février : voilà déjà des années que seule ma conscience professionnelle me pousse à regarder le All-Star Weekend. Cette année, désolé patron, mais ça sera sans moi. Si je vois encore Scottie Barnes se rater dans un parcours de dribble ou un concours de dunk sans protéines, je risque de craquer. Du coup je reprends des vacances, et cette fois, le tourisme est Andalou, le show se passe à Cordoue.
  • 12 avril : je n’ai plus de jours de congés, je suis donc condamné à faire des mathématiques pour imaginer les scénarios de la dernière journée de régulière. Nicolas Meichel est le spécialiste de ces calculs et je ne trouve jamais les mêmes résultats que lui. Sa réponse c’est “sept”, la mienne c’est “truite fumée” Devinez quoi, j’ai tord, je suis frustré, y a pas un petit Pistons-Hornets à la télé ?

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