Giannis Antetokounmpo au concours à 3-points un jour ? “Il ne faut jamais dire jamais”
Le 16 févr. 2024 à 18:00 par Nicolas Meichel
Quand on pense à Giannis Antetokounmpo, la dernière chose qui nous vient à l’esprit est probablement son shoot extérieur. Pourtant, le Greek Freak n’exclut pas de participer au concours à 3-points un jour…
Contrairement à un Slam Dunk Contest en perdition, le concours de tirs du All-Star Weekend rassemble souvent les meilleurs snipers de la NBA ainsi que des shooteurs stars de la Ligue. Giannis est incontestablement une star, mais il est loin d’être un sniper.
Avec seulement 28,5% de réussite à 3-points en carrière, le Freak est plutôt le genre de joueur qu’on laisse volontairement ouvert pour le pousser à shooter. Et ses 65% de réussite aux lancers-francs cette saison confirment ses limites au niveau du tir. Mais ne dites surtout pas à Giannis qu’il n’est pas capable de faire quelque chose. Participer au concours à 3-points un jour ? Le Freak l’envisage.
“Il ne faut jamais dire jamais” a déclaré Giannis à Nick DePaula. “Car je travaille très dur et je crois en mon travail. Quand je serai plus vieux, et que je ne pourrai plus attaquer la raquette, peut-être que ce sera le moment de tirer plus de 3-points, et que mon pourcentage augmentera.
Peut-être que je le ferai à l’avenir, quand j’aurai 36, 37 ou 38 ans.”
+1 sur l’éthique de travail de Giannis, car on sait à quel point il taffe. +1 aussi sur la nécessité d’adapter son jeu, surtout pour un phénomène comme le Freak qui joue énormément sur son physique.
Par contre, désolé Giannis, mais on a quand même du mal à t’imaginer dans un concours de shoots sachant que tu prends déjà dix secondes pour tirer ne serait-ce qu’un lancer-franc.
En vrai, on a un peu peur que ça donne ça :
Giannis shooting bricks pic.twitter.com/UhpDluMz1A
— Warlock (@CulebroVikingo) August 18, 2020
On taquine, mais Giannis Antetokounmpo a tellement d’autres qualités qu’on ne voudrait pas qu’il se ridiculise dans un concours qui met en avant son plus gros défaut.
Parfois, il faut savoir dire “jamais”.
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Source texte : Nick DePaula
