Les 10 bonnes raisons de suivre les Milwaukee Bucks sur la saison NBA 2023-24

Le 21 oct. 2023 à 14:18 par Clément Hénot

Giannis 18 juillet 2021
Source image : NBA League Pass

La saison NBA 2023-24 reprendra le 24 octobre et d’ici-là, c’est la tradition, TrashTalk vous propose un tour d’horizon complet des 30 franchises qui composent la Grande Ligue. Au cœur de ce calendrier très complet des 30 Previews en 30 Jours ? 10 bonnes raisons de suivre chacune des trente franchises NBA. Aujourd’hui les Bucks !

#1 : Damian Lillard et Giannis qui en collent 90 à deux

La complémentarité des deux zouaves est dingue, alors prévenez vos équipes TTFL, ce n’est pas parce qu’il vont être dans la même équipe qu’il vont envoyer de moins gros scores. Giannis peut siphonner n’importe quelle raquette en NBA, tandis que la zone de tir préférentielle de Damian Lillard sur un terrain de basket est… le terrain dans sa globalité. Quand l’un sera un peu patraque, l’autre prendra l’attaque sur ses épaules et quand les deux gus feront une fusion comme dans Dragon Ball Z, alors il faudra se mettre aux abris.

#2 : Giannis Antetokounmpo, tout simplement

Le Greek Freak devrait encore être infernal pendant cette saison. Dans cet effectif des Bucks, il va mettre bien son équipe grâce à ses gros dunks, sa défense mais aussi son playmaking pour rendre les autres meilleurs. Les Daims auront besoin de l’apport de Giannis dans ces compartiments du jeu, et nul doute qu’on va encore le voir garnir les Top 10 cette saison.

#3 : Damian Lillard, tout simplement

Exactement le même paragraphe que pour Giannis, remplacez juste “Le Greek Freak” par “Dame D.O.L.L.A”, “dunks” par “shoots”, “défense” par “vitesse”, ou tout simplement “Giannis” par “Damian Lillard.

#4 : Les défenses en sueur

La question qui va se poser, c’est “comment défendre contre ces deux maboules ?”. D’un côté, un poste 4 taillé dans la roche et longiligne à souhait, capable de partir dunker de la ligne des 3-points, d’enfoncer pas mal d’adversaires au poste, mais aussi de lâcher de belles passes. De l’autre côté, un meneur ultra clutch, pouvant artiller de n’importe où sur le parquet, toujours vif et disposant également d’un solide playmaking. La complémentarité est grande, on l’a déjà dit, mais l’association de ces deux zouaves devrait causer pas mal de migraines aux coachs de la ligue. Giannis, qui était souvent trappé et que l’on autorisait beaucoup à tirer du parking, va bénéficier du spacing qu’offre Damian Lillard, et ce dernier pourra l’abreuver de caviars. Alors choisissez entre la peste et le choléra maintenant.

#5 : Bucks – Celtics et Celtics – Bucks

Au-delà du retour de Jrue Holiday, champion 2021 avec Milwaukee, sur les terres de sa première bague en carrière, cet affrontement représente surtout une opposition entre les deux équipes les mieux taillées de l’Est. Nul doute que l’on devrait voir du vert en finales de conférence cette saison encore à l’Est. Bucks et Celtics vont se livrer de sacrés duels, offensifs comme défensifs, pour se disputer la suprématie de leur conférence. Le TD Garden et le Fiserv Forum seront chauffés à blanc dès la saison régulière, mais alors l’atmosphère promet d’être incandescente en cas d’affrontement en Playoffs.

#6 : La saison 2 de MarJon Beauchamp

Il a beau avoir du potentiel, il s’est heurté à la dure loi qui heurte les rookies talentueux mais qui arrivent chez un contender pour le titre dont le roster est déjà bien en place. MarJon Beauchamp n’a pas beaucoup joué pour sa première saison, mais pourrait bien bénéficier du remaniement d’effectif de la part des Bucks pour faire son trou dans la rotation d’Adrian Griffin. “Nicefield” comme disent les Anglais devra prouver qu’il apporte offensivement, qu’il peut progresser sur son tir, et qu’il peut également être un bon défenseur dans une équipe comme les Bucks qui ont toujours sorti les barbelés sur les dernières années. Il a pas mal de cartes en main pour avoir du temps de jeu et prospérer en NBA, à lui de les utiliser à bon escient.

#7 : La saison 1 d’Adrian Griffin

Le coach rookie se retrouve d’entrée face à un défi de taille : celui de ramener les Daims sur le toit de la NBA comme en 2021. Adrian Griffin peut sembler novice, mais il a été assistant pendant 15 ans dans la ligue et a beaucoup appris, notamment chez les Raptors où il a été l’adjoint de Nick Nurse au moment du titre de 2019. Il sera intéressant de voir comment il va articuler son effectif, d’autant plus avec l’addition de Damian Lillard, mais aussi les pertes de Jrue Holiday et Grayson Allen. Le daron d’AJ pourrait bien devoir changer totalement de formule pour ramener Bambi et ses potes au sommet. En tout cas, il a décidé de relever ce défi.

#8 : Cameron Payne qui célèbre les shoots de Lillard

Il a été le camarade de danse de Russell Westbrook pendant leurs années à Oklahoma City. Mais Cameron Payne est bien plus qu’un joueur invétéré de Just Dance. Il a su se bâtir une réputation de solide meneur remplaçant dans une équipe aux ambitions élevées après avoir été une punchline aux quatre coins de la ligue. Le meneur gaucher devrait assurer le spectacle lors de ses apparitions sur le parquet, mais aussi en dehors grâce à des célébrations plus loufoques les unes que les autres et sera aussi un ambianceur de banc. On a hâte de voir quelles danses il va apprendre à Pat Connaughton ou encore Bobby Portis. Par pitié, juste pas de Harlem Shake ou de Gangnam Style, on n’est plus en 2013.

#9 : Robin Lopez qui se tape avec toutes les mascottes NBA

C’est devenu une tradition de voir Robin Lopez envoyer des mandales de caviste aux différentes mascottes NBA lorsque son équipe joue à l’extérieur. Parfois, les mascottes se pointent même avec une pancarte pour interpeller RoLo et provoquer sa colère avant de se barrer en courant, mais rares sont celles qui ont échappé au courroux du jumeau de Brook. Quoi qu’il en soit, quand il ne sera pas occupé de le faire dans les raquettes en relais de son frère, Robin va encore sortir les enclumes face à toutes ces peluches géantes, au moins pour cette saison en tout cas.

#10 : Les gros yeux de Bobby Portis

On comprend mieux pourquoi il est si bon en attaque et met le ballon dans le panier avec autant d’aisance. Difficile en effet de ne pas y voir clair avec des yeux si écarquillés. Quoi qu’il en soit, Bobby Portis aura encore un sacré rôle à jouer chez les Bucks en plus d’avoir des yeux globuleux. Renforcé par son expérience avec Team USA et probablement affamé par l’échec que ce Mondial a représenté pour les Etats-Unis. Portis voudra se battre pour le trophée de sixième homme de l’année, mais surtout pour ce titre NBA qui le fuit depuis 2021 et son fameux sacre lors duquel il a enchaîné les teilles de champagne avec Pat Connaughton.


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