Les bonnes résolutions de la Conférence Ouest : franchise par franchise, on fait le point sur ce qui nous attend en 2019
Le 31 déc. 2018 à 15:39 par Clément Mathieu
Ça y est ! On y est ! Le moment est venu de dire au revoir à l’année 2018 et de souhaiter la bienvenue à 2019. Alors que la plupart d’entre nous hésiteront ce soir entre une cuite et une mine, les équipes NBA n’ont pas le temps de niaiser. Mais comme rien ne vaut un peu d’espoir en ce bas monde, elle comptent cette fois-ci respecter leurs bonnes résolutions. L’équipe de TrashTalk s’est par chance procuré une liste oubliée sur le comptoir d’un bar de Châteauroux. Probablement celle d’un GM soucieux du sort de sa franchise. Et comme on est encore dans l’ambiance de Noël, on se devait de la partager avec vous.
Mais aussi : les résolutions à l’Est
Les bonnes résolutions du Thunder : créer une taxe sur le crachat. Avec ce que certains balancent sur Russell Westbrook, ils pourront bientôt signer Durant, LeBron et Davis sans se mettre dans le rouge.
Les bonnes résolutions des Blazers : ne pas oublier qu’une saison NBA c’est la saison régulière ET les Playoffs. Parce que carburer sur 82 matchs pour se faire prendre par Jrue Holiday en quatre matchs, merci hein.
Les bonnes résolutions du Jazz : investir dans la dynamite pour faire péter le putain de mur que se prend Donovan Mitchell cette saison. Quand on peut être un D-Wade 2.0, il faut assurer derrière.
Les bonnes résolutions des Nuggets : récupérer les blessés pour pouvoir écraser la Conférence Ouest. Ah non attendez c’est déjà ce qu’ils font.
Les bonnes résolutions des Wolves : acheter un bâillon pour Andrew Wiggins. Quand on est payé au max et qu’on ne sait pas mettre des lancers, il ne faut pas s’étonner d’être vu comme une merde.
Les bonnes résolutions des Warriors : suivre une thérapie de couple pour Draymond Green et Kevin Durant. Parce que quand le Marcus sera là, il ne faudra pas trop se traiter de plage sous peine d’en prendre une dans la gueule. Moins diplomate que Curry le gars.
Les bonnes résolutions des Lakers : prier pour que LeBron James reste à l’image des anciens téléphones Nokia. Invincible, incassable et éternel. Parce que gagner avec KCP en go to guy ça va bien deux minutes.
Les bonnes résolutions des Clippers : continuer à faire des doigts à tous les maillots pourpres et ors qui passent. LeBron ou pas, la meilleure team à L.A., c’est eux.
Les bonnes résolutions des Kings : essayer de ne pas perdre les derniers points du permis. Déjà 54 excès de vitesse juste pour De’Aaron Fox, ça fait beaucoup quand même.
Les bonnes résolutions des Suns : avec toutes les branlés qu’ils se sont pris en 2018, on n’est pas vraiment certain qu’ils puissent encore s’assoir pour écrire de bonnes résolutions.
Les bonnes résolutions des Rockets : négocier avec Elon Musk sa technologie pour faire atterrir ses fusées. Être foutu en orbite par James Harden et s’écraser l’année suivante, c’est un peu lourd. Quoi, ça va couter cher ? Vous êtes mal informé si vous pensez que ça les gêne…
Les bonnes résolutions des Spurs : embaucher le Doc. Pas celui des Clippers, mais celui de Retour Vers Le Futur. Car, quelques années en arrière ou vers l’avenir, les Spurs veulent être partout sauf en 2019. Sauf si c’est la dernière de Pop… Nom de Zeus !
Les bonnes résolutions des Grizzlies : jouer au bridge avec les amis au PMU du coin. Oui, ce sont des préoccupations de vieux, mais les vieilleries tiennent bien la baraque aux Grizzlies pendant que les jeunes se développent.
Les bonnes résolutions des Mavericks : aller voir les grands-parents plus souvent. Depuis qu’on n’a pas vu Dirk pendant quelques semaines, on sait à quel point le papi allemand va nous manquer quand il partira.
Les bonnes résolutions des Pelicans : choper un bon avocat en prévision du divorce car les Pelicans risquent fort de se faire pigeonner. Quand AD va demander le divorce, faudra pas s’étonner qu’il parte avec la moitié des wins.
Une nouvelle exclu mondiale pour TrashTalk, car les vacances et le sommeil sont surfait de toute façon. On espère que le dernier jour de 2018 sera à l’image de notre sport, parfois violent mais toujours aussi kiffant.