Les bonnes résolutions de la Conférence Est : franchise par franchise, on fait le point sur ce qui nous attend en 2019
Le 31 déc. 2018 à 15:28 par Clément Mathieu
Ça y est ! On y est ! Le moment est venu de dire au revoir à l’année 2018 et de souhaiter la bienvenue à 2019. Alors que la plupart d’entre nous hésiteront ce soir entre une cuite et une mine, les équipes NBA n’ont pas le temps de niaiser. Mais comme rien ne vaut un peu d’espoir en ce bas monde, elle comptent cette fois-ci respecter leurs bonnes résolutions. L’équipe de TrashTalk s’est par chance procuré une liste oubliée sur le comptoir d’un bar de Châteauroux, probablement celle d’un GM soucieux du sort de sa franchise. Et comme on est encore dans l’ambiance de Noël, on se devait de la partager avec vous.
Mais aussi : Les résolutions à l’Ouest
Les bonnes résolutions des Knicks : mettre toute la maille sous le matelas histoire de faire signer un gros free agent cet été. Il faudra bien un KD pour faire revivre cette franchise.
Les bonnes résolutions des Nets : garder le fighting spirit qu’ils ont montré depuis le début de saison. Quand t’es prêt à perdre un bras pour ton coéquipier, c’est plus facile de faire venir du monde à la free agency.
Les bonnes résolutions des Sixers : aller plus souvent à l’église allumer des cierges pour les genoux de Joel Embiid. Parce que sans son pivot, cette équipe est tout simplement dégueulasse.
Les bonnes résolutions des Celtics : ne pas réécrire la théorie de l’évolution. Quand tu vas en finale sans deux All-Stars, tu ne peux pas faire moins bien avec eux.
Les bonnes résolutions des Raptors : acheter une corde de bonne qualité. Le fit avec Kawhi est juste parfait et il n’y a pas moyen de le laisser partir : les parades, le fric et même les clés du building s’il le faut mais the Klaw ne bouge pas.
Les bonnes résolutions des Bucks : tenter le dunk du milieu de terrain à la mi-temps avec Giannis en vedette. Avoir le meilleur bilan de la NBA c’est surfait, il faut savoir se distraire un peu.
Les bonnes résolutions des Pacers : continuer à biffler toutes les équipes osant s’aventurer dans leur moitié de terrain et consolider encore un peu plus le bunker qui s’est formé autour de Victor Oladipo
Les bonnes résolutions des Pistons : se réveiller à temps pour se rendre compte que les Playoffs sont difficilement envisageables avec Reggie Jackson en meneur titulaire. Peu importe contre quoi tu l’échanges mais il faut qu’il dégage de là. Jose Calderon est meilleur à 87 ans.
Les bonnes résolutions des Bulls : enfermer Cameron Payne à la cave, bâillonné et ligoté. Même blessé, il est capable de contaminer Kris Dunn avec sa nullité.
Les bonnes résolutions des Cavs : Prier pour que Zion Williamson ne s’aperçoivent pas des traces de suçons sur la gueule de tous les joueurs de Cleveland. Tout le monde fait l’amour tendrement à cette équipe depuis deux mois, ça en devient gênant.
Les bonnes résolutions des Hornets : apprendre le français. Franchement, il faut s’y mettre vu comment Tony a grandement participé au step-up de cette équipe… et pour dire à Nico de démonter les boxscores, parce qu’en anglais ça n’a pas l’air de fonctionner.
Les bonnes résolutions du Heat : apprendre à partager. Très clairement, il y a un problème de partage dans cette équipe. Sinon, comment expliquer le fait que Dion Waiters ait chopé les kilos de ses 14 autres potes pendant l’été ?
Les bonnes résolutions du Magic : présenter Evan Fournier aux Oscars. Entre sa série documentaire sur Youtube et ses buzzer-beaters pour clore en beauté les scénarios des matchs, on en attend pas moins. Allez va te rhabiller Kobe.
Les bonnes résolutions des Wizards : Beald the Wall. Le pensionnaire de la Maison-Blanche le rabâche et les travaux avancent bien avec toutes les briques qu’ils envoient. Ah oui, et des rendez-vous chez l’orthophoniste : faut vraiment soigner cette dyslexie.
Les bonnes résolutions des Hawks : investir dans la Française des Jeux pour récupérer des Astro gratuits. De toute façon, sur le parquet, ils ne sont plus là pour gagner : alors autant s’entrainer pour la Loterie.
Une nouvelle exclu mondiale pour TrashTalk, car les vacances et le sommeil sont surfait de toute façon. On espère que le dernier jour de 2018 sera à l’image de notre sport, parfois violent mais toujours aussi kiffant.