La liste de Noël de la Conférence Ouest : franchise par franchise, mais qu’ont-ils bien pu commander ?
Le 24 déc. 2018 à 11:42 par Giovanni Marriette
Ca y’est, on y est. Ce soir l’essentiel d’entre-nous ouvriront leurs paquets, entre joie de découvrir des surprises insoupçonnées et acting de folie quand Tatie Madeleine vous offrira comme chaque année votre coffret parfum/après-rasage/gel douche made in le supermarché le plus proche. Une soirée passée le plus souvent en famille pour ceux qui le peuvent, et on en touche d’ailleurs une à ceux qui seront seuls ce soir, on ne vous oublie pas et on vous fait quelques bisous. Pour patienter avant ce réveillon de Noël 2018 ? On a pour notre part mis la main sur la liste de Noël de chaque franchise NBA, et notre conscience professionnelle npus obligeait bien sûr à la partager. Allez, sans plus attendre, c’est l’heure des révélations, et on commence par la Conférence Ouest.
Note importante aux fanbases excitées en cette fin d’année 2018, cette liste est réellement celle envoyée au Père-Noël, en aucun cas nous ne sommes responsables car nous ne faisons que partager notre trouvaille. Pour tout réclamation veuillez donc vous adresser au centre de tri du Père-Noël en Laponie. Car oui le Père-Noël existe, tout comme les chances de titres pour les Knicks.
La commande des Suns : un grand bol de patience, parce qu’avec un peu de chance en juin prochain ça peut partir sur quinze années de folie. Merci en tout cas de recommencer à perdre, faudrait pas tuer le Process.
La commande des Pels : une corde assez solide pour retenir Anthony Davis. Et des fans pour la franchise quand tout le monde aura quitté le navire.Parce que quand Darius Miller sera le lieutenant de Nikola Mirotic, on verra bien qui sont les vrais.
La commande des Mavs : un loft tout confort pour permettre à Dirk Nowitzki et Luka Doncic d’habiter ensemble. Y’a un gros héritage à transmettre, autant le faire avec un parquet chauffant.
La commande des Clippers : de la viande rouge pour Boban Marjanovic, Montrezl Harrell et Marcin Gortat. Parce que le mouvement Vegan n’est clairement pas fait pour eux.
La commande des Wolves : une gourde de testostérone pour Karl-Anthony Towns. Parce qu’il n’a plus l’âge d’être un minou, parce qu’on en a marre de le voir se mettre sur le dos pour se faire papouiller, et parce qu’on en a surtout marre de trouver des références de ce genre trois fois par semaine.
La commande des Kings : une Poupluche de Kobe Bryant. Parce que même le jour où ils seront champions, ils dédicaceront leur titre au Mamba, lui qui leur a volé leur vie. Peuvent pas s’en empêcher.
La commande des Grizzlies : une bonne étoile qui continue de briller, parce que c’est vraiment cool quand personne ne glisse sur des peaux de banane à Memphis.
La commande du Jazz : une potion magique pour que Donovan Mitchell retrouve le chemin du panier. Vous connaissez un druide pas cher ?
La commande des Blazers : une dizaine de coussins moelleux, parce que le banc de Portland se doit de chérir le popotin de ses nouveaux héros.
La commande des Spurs : un exemplaire de Fin de Cycle, la dernière BD humoristique de Kylian Basketix.
La commande des Lakers : un Anthony Davis, un Jimmy Butler, un DeMarcus Cousins, un Kawhi Leonard et un Kevin Durant. Tout ça pour finir avec John Wall et Garrett Temple, on est bien d’accord.
La commande des Nuggets : des Senzus pour retaper Isaiah Thomas et Michael Porter Jr. Et Paul Millsap, et Gary Harris, et Antonio McDyess.
La commande des Rockets : un guide d’utilisation pour le CP32019, le jouet le plus cher au monde mais dont personne ne sait se servir. Parce que 160 millions, ça fait cher la plante verte.
La commande du Thunder : une thérapie chez un conseiller conjugal. Parce que le jour où Mr Westbrook et Mme George seront sur la même longueur d’ondes tous les soirs, aie aïe aïe comme dirait un dinosaure qui croise LeBron James.
La commande des Warriors : un peu de concurrence merde. Parce que ça doit faire bizarre de passer le balai en NBA alors que les mecs ne le font même pas chez eux.
Allez, voilà pour cette exclu mondiale, à ne pas mettre entre les toutes les mains car on l’a dit, les esprits sont tendus en cette période de fête. Bien dommage d’ailleurs car notre sport n’est qu’amour, et encore plus en cette période de câlins et de cadeaux.