Les Pelicans signent Darius Miller pour deux ans : rangez vos Kyrie and co, on parle d’une légende de Bamberg là
Le 25 juil. 2017 à 07:24 par Giovanni Marriette
C’est aussi ça la NBA, des signatures complètement randoms mais que l’on souhaite également mettre en avant. Les All-Stars c’est bien, mais c’est encore mieux lorsque l’on parle de temps en temps des mecs qui leur cirent les pompes.
Et notre cireur de pompes du jour s’appelle Darius Miller, est à ce jour le 16ème Miller de l’histoire de la NBA et nous vient directement de Bamberg, franchise éminemment connue sur le Vieux Continent, située en Germanie pour les géographes qui nous lisent. Une info un peu plus connue que Darius Miller lui-même, ce dernier n’ayant disputé qu’une centaine de matchs en trois ans du côté de… New Orleans avant de tenter sa chance de notre côté de l’Atlantique. Ses 3 points de moyenne n’avaient à l’époque pas dû convaincre ses dirigeants et c’est donc après deux saisons à profiter de la vie en Europe que Darius effectue son comeback :
Source: Free agent Darius Miller has signed his deal with Pelicans, two-years — with a team option.
— Adrian Wojnarowski (@wojespn) 24 juillet 2017
Le free agent Darius Miller a signé un contrat de deux ans avec les Pelicans dont une année en option.
Le montant du contrat n’est pas connu mais il devrait être le même que celui de Derrick Rose, au moment même où l’on se rend compte que vient d’être écrite la phrase la plus WTF de l’histoire de la NBA, devançant de peu au classement le Bucks in 6 de Brandon Jennings.
Ailier de 2m03 pour 106 kilos, ce qui est bien mais pas top (et on en place une pour le commissaire Bialès), Darius Miller intègrera donc bientôt la rotation des Pels pour servir de sparring partner à DeMarcus Cousins et Anthony Davis et de punching ball à Rajon Rondo. On espère pour lui que son rôle sera tout de même un peu plus intéressant mais sa signature à l’aile indique en tout cas que Solomonde Hill n’a jamais été aussi Solomon à son poste.
Et c’est sur cette vanne absolument imbuvable que nous nous retirons pour aujourd’hui, repartant dans une chasse aux trades sanglante, en espérant tout de même voir apparaître le nom d’un joueur que l’on a déjà vu jouer au moins une fois.
Source : espn