NBA Top 5 du jour : ça défend pas beaucoup à Portland, mais au moins c’est fun
Le 08 févr. 2017 à 07:21 par Giovanni Marriette
C’est une toute petite session NBA que nous avons vécu cette nuit avec seulement trois matchs au programme. Trois matchs mais tout de même un NBA Top 5 pour accompagner votre réveil, avec ce matin un rapide clin d’œil à une légende du cinoche. Une légende avec un grand L, avec deux grandes ailes même. C’est beau, c’est de la poésie.
On vous parlait l’an passé à la même époque d’un certain Jules Verne, pionnier dans son domaine ayant inspiré bon nombre de joueurs NBA, et on vous explique d’ailleurs cela juste ici. Autre pionnier ce matin puisque c’est de… James Dean dont on parle. James Dean, né donc un 8 février (en 1931) et mort en 1955 après un début de carrière au ciné qui faisait déjà de lui à l’époque un monstre sacré du septième art et dont la mort dans un accident de voiture participera à sa légende.
Un décès à l’âge de 24 ans, trois films mais deux Oscars du meilleur acteur à titre posthume dont l’un dès son premier film, une gueule d’ange et une passion pour les courses de bagnole aussi dangereuse que mythique, tant de chapitres à mettre dans le livre d’une vie courte mais légendaire, qui fait encore aujourd’hui de James Dean l’un des joyaux de l’histoire du cinoche. Imaginez le destin de Drazen Petrovic et rajoutez lui un trophée de MVP dès sa saison rookie et vous commencerez peut-être à imaginer l’aura de James Dean. A l’Est d’Eden, Géant et La Fureur de vivre resteront à tout jamais les trois seuls bijoux du beau gosse, mais ils demeureront également trois bijoux scintillants comme peu d’autres l’ont été depuis la naissance du cinéma game.
Allez, retour en 2017 pour un autre genre de pureté visuelle, avec autant de swag mais beaucoup plus de couleurs. Pour les plus curieux on vous conseille fortement d’aller vous rencarder sur le beau James, pour les autres y’a qu’à cliquer juste au dessus. Allez, café.