NBA Top 5 du jour : info minou du jour, Karl-Anthony Towns a transformé Nikola Jokic en litière
Le 23 janv. 2017 à 09:42 par Giovanni Marriette
C’est parti pour une nouvelle semaine de basket, entamée comme il se doit par nos amis Eric ou Karl-Anthony. Et comme tout bon livre nécessite une bonne intro, on attaque avec le premier Top 5 de la semaine, sponsorisé ce matin par… un petit bonhomme.
On aurait pu vous parler aujourd’hui de Louisa Necib mais elle est trop belle. On aurait pu vous parler d’Arjen Robben mais il est trop gaucher. De Christophe Dechavanne car on aime sortir couvert, de Didier Bourdon parce qu’il nous fait marrer. On aurait également pu vous parler de Wallen, de Léa Drucker, de Laurent Boyer ou même de mon frère, tous nés un béni 23 janvier. Mais après un débat enflammé entre tous les résidents du cerveau de votre serviteur, c’est donc vers Bernard Diomède que les quelques ligne suivantes se tourneront. “Petit bonhomme c’est pas Zizou”, “Nanard c’est pas Zizou”, mais Bernard est quand même champion du monde et ça, ils ne sont que 22 français à pouvoir le coucher sur leur CV. Naissance le 23 janvier 1974 à Saint Doulchard dans le Cher, des débuts à Auxerre sous la houlette du bonnet le plus connu du foot français, un tour par Anfield Road avant de se finir tranquille entre Ajaccio, Créteil et Clermont, ça c’est pour le cursus. Un doublé coupe-championnat avec l’AJA, huit sélections en Bleu et évidemment une historique coupe du monde, ça c’est pour la vitrine à trophées.
Désormais sélectionneur des U17 français, ce gaucher exclusif a donc eu la chance de pouvoir évoluer avec les trois meilleurs milieux de terrain de sa génération puisque si Steven Gerrard et Zinedine Zidane sont des têtes connues du 20h, les gens oublient un peu trop vite le doublé de Thomas Deniaud à Ibrox Park. On souhaite en tout cas un très bon anniversaire à “petit bonhomme”, un bon gars ayant fait de la vie associative et citoyenne un cheval de bataille et présentant des valeurs rares en 2017.
Allez, un petit discours de Mémé, un Top 5, et au boulot. Zou.