NBA Top 10 : Varejao a voulu tenir devant Westbrook sur pick-and-roll, c’était drôle

Lendemain de Mercredi Panzani oblige, il s’est passé beaucoup de choses cette nuit en NBA. On vous laisse jeter un coup d’œil au Top 10 de la nuit, juste après avoir gonflé un peu votre culture gé’ grâce aux quelques lignes ci-dessous. C’est parti.

Et qu’a-t-il bien pu se passer un 19 janvier dans l’histoire des 19 janvier ? On squeezera volontairement les anniversaires de Paul Cézanne ou Edgar Allan Poe car ils n’ont étrangement pas pu répondre à notre invitation, et on vous parlera donc plutôt d’une avancée majeure dans le monde du travail, survenue il y a tout pile 17 ans alors que l’on venait de basculer dans le troisième millénaire, celui dont Giannis Antetokounmpo sera bientôt le roi. 19 janvier 2000 donc et place à la loi Aubry II, qui n’a d’ailleurs rien à voir avec Glen Robinson III.

Ministre de l’emploi et de la solidarité du gouvernement Jospin (grand fan de Stéphane Curry au passage), Martine présente ce jour-là le complément d’une loi existante (loi Aubry I, originalité poussée au max) et propose donc ceci :

• Passage progressif à 35h de travail hebdo, date butoir en février 2002 ? TrashTalk valide, “hebdo ça veut bien dire *deux jours* hein ?”
• Temps de pause et restauration pouvant être assimilés à du travail effectif ? Raymond Felton en frétille alors d’avance.
• Compensation financière ou sous forme de repos lors de l’habillage et du déshabillage sur le lieu de travail ? Ça c’est pour le pyjama de Melo.
• Respect d’un repos hebdo consécutif à 35h minimum ? Allen Iverson likes it.

Voilà pour les principales lignes de cette loi Aubry II, valables à partir de janvier 2000 pour les entreprises de plus de 20 salariés (exemple Grizzlies 2015/16) et à partir de février 2002 pour les autres. Avec ça, si vous n’avez pas de quoi vous là raconter en cours d’éco ce matin, et bien on ne peut plus rien pour vous. Allez, envoyez le Top 10, et on vous autorise à ne pas attendre votre pause pour le regarder.