Hoops I test it again – Adidas Crazylight Boost 2016 : le top du top du low top
Le 20 août 2016 à 18:55 par David Carroz
Suite à la présentation des Adidas Crazylight Boost 2016, nous ne pouvions pas nous contenter de simple paroles et nous nous sommes assurés que le modèle était bien au niveau annoncé. C’est bien le cas et voici le récap’ de notre test effectué dans la chaleur lyonnaise et l’intensité d’un match de vétérans souffrant de lumbagos.
Trophée Brandon Roy de l’amorti
- Note : genou en mousse, genou de bronze, genou d’argent, genou d’or
C’est le gros plus de la Crazylight Boost 2016. Pour la première fois, la technologie Boost est présente sous l’intégralité de la semelle pour garantir un amorti optimal. Et c’est réussi. De nombreuses billes de Boost remplissent la semelle intermédiaire – la rendant plus ferme – et garantissent donc plus de douceur pour vos genoux, absorbant les impacts probablement mieux qu’aucune autre paire de chez Adidas avant.
Trophée Grant Hill du maintien
- Note : cheville en mousse, cheville de bronze, cheville d’argent, cheville d’or
Le maintien est bon mais c’est pas la folie totale non plus. Si un cadre en TPU à l’avant du pied – un gros changement par rapport à la Crazylight Boost 2015 – rajoute un peu de tenu à l’extrémité du membre inférieur, on reste quand même un peu sur notre faim. Certes, la bar de torsion et ce cadre sont censés permettre de maintenir le talon au sol, mais il reste un peu de jeu. Pas grand chose, mais il faudra bien choisir sa pointure pour s’assurer un minimum de mouvement du pied.
Trophée Tyronn Lue de la traction
- Note : fesses de mousse, fesses de bronze, fesses d’argent, fesses d’or
Malheureusement pour ce test, nous n’avons pas pu profiter de la gomme Continental qui n’est pas présente pour le modèle blanc. Malgré cela, les résultats sont assez impressionnants, les motifs de la semelle en caoutchouc font le taf au niveau de l’accroche. C’est donc un grand oui pour ce secteur avec une chaussure très stable. Amis adeptes des crossovers, vous allez briser quelques chevilles en vous sentant en parfaite harmonie avec vos pompes et le sol.
Trophée Glen Davis du confort
- Note : bedaine de mousse, bedaine de bronze, bedaine d’argent, bedaine d’or
La technologie Boost fait là aussi son effet avec un véritable confort apporté. Malgré un poids supérieur à la moyenne des chaussures basses, l’impression reste légère, ce qui ne gâche rien. Par contre, il vous faudra bien choisir votre demi-pointure pour ne pas avoir de mouvement au niveau du talon, comme expliqué dans la partie maintien. Mais dans l’ensemble, on est dans le haut du panier.
Trophée Anthony Bennett de la durée de vie
- Note : Carrière en mousse, carrière de bronze, carrière d’argent, carrière d’or
Avec l’apport en TPU pour soutenir le Flyknit et le tissu de la tige, on gagne en solidité. Ainsi, la pompe va plus prendre forme autour de votre pied que s’abîmer. En ce qui concerne la semelle, là aussi vous pouvez être serein. Que ce soit avec la gomme Continental ou la version classique, il faudra s’employer pour ruiner le dessous de vos groles, même sur asphalte.
Trophée Swaggy-P du design
- Note : swag en mousse, swag de bronze, swag d’argent, swag d’or
La version blanche testée avec ses motifs en crème ne fait pas forcément très streetball, mais elles ont de la gueule. À tel point qu’on voit même des mecs qui commencent à les porter dans la vie de tous les jours. Plutôt bon signe. La version Flyknit n’est pas dégueu non plus, donc nouveau point positif pour ces Adidas Crazylight Boost 2016.
Trophée Rashard Lewis du tarif
- Note : contrat en mousse, contrat en bronze, contrat en argent, contrat en or
Pour 130 dollars, vous obtenez un petit bijou, à la fois classe et performant. Que demander de plus ? Qu’on vous les offre ? Restons sérieux !
Bilan
James Harden va commencer la saison avec les Crazylight Boost 2016, et si vous êtes adeptes de modèles low, on vous conseille d’en faire de même. Les joueurs extérieurs se régaleront avec cette paire taillée pour les attaquants agiles.
Source image : @TheBigD05